mardi, août 17, 2010

Usine à gaz

Ayant prêté la bagagère à Tonton Grégo pour sa balade au Puy du Fou, ce dernier m'a dit avoir dû utiliser les techniques avancées du Vieux pour fixer le capot (l'élastique en chambre à air, l'Ami du bricoleur survivor).

Intolérable ! ;-P

Du coup, vexé, votre serviteur a diagnostiqué le problème aujourd'hui : manque de rigidité des charnières (en simple tôle à la c...). Ces dernières et leur pivot plient à chaque ouverture sous le poids du capot et ont fini par se déformer. Du coup, y'avait plus d'alignement correct entre l'arrière du capot et l'attache de verrou, et avec une petite bosse, les tensions faisait sauter le verrou.

Donc passage des charnière sur l'enclume pour leur redonner la forme d'origine, et renfort en plat d'acier de 4 mm. Puis doublage du pivot de charnière avec une cornière acier, elle aussi en 4mm pour répartir les efforts sur une plus grande surface (ben voui, parce que les ridelles aussi plient... saleté d'économies de daube !).
Là, si ça bouge...je ne vois plus quoi faire.

J'en ai profité pour changer le système de maintien du capot.
J'en avait marre de cette barre qui maintenait le capot pas assez ouvert et qui le faisait vriller car ne le maintenant que d'un côté...
Bref, j'ai fini par la remplacer par deux vieux vérins à gaz.
Du coup, le capot s'ouvre tout seul avec un "DZOUIiiii" jouissif  passé les trente premiers centimètres (je voulais qu'il ait plus tendance à se tenir fermé qu'à s'ouvrir...au cas où le verrou lâche...j'ai dû être contaminé par la safety attitude du Vieux ;-D).
Et l'accès est largement meilleur qu'avec la barre, vu que le capot est bien plus ouvert.

Bon, Y'a plus passer les charnières à l'antirouille, et puis zou !
Ah si, faudra aussi trouver des cabochons pour protéger les boulons.

:-D

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