mardi, décembre 25, 2012

vendredi, décembre 21, 2012

It's the end of the world as we know it...

...but i feel fine, nous dit notre Michael Stipe inspiré.

En ce jour de fin du monde, dont on nous rebat les oreilles et casse les noisettes depuis un an, ça va ma foi pas mal.
Pas de météorite à l'horizon, pas de pôles qui semblent aller se balader, pas de planètes qui ont l'air de vouloir fourbement s'aligner...

Déçevant quoi.
Moi qui avait commencé à aménager le sous-sol...
Tsss..

Bon, tout n'est pas perdu, hein. La journée n'est pas terminée. Si ça se trouve, on va quand même avoir au moins le droit à quelques frapadingues qui vont s'immoler à la confiture à la rhubarbe, ou se jeter du haut du pont de Saire.

En attendant, je ne voudrais pas être à la place de ces cinglés qui font mener un enfer à leur famille, style réveil à 3H00 à la sirène d'alerte aérienne puis enfilage chronométré de la tenue NBC et verrouillage dans la panic room construite en bétonnant la piscine.

Z'auront l'air bien cons demain, avec leur petite centaine de boîtes de cassoulet en conserve à bouffer...

:-D

mardi, décembre 18, 2012

dimanche, décembre 16, 2012

Le père Noël et la baleine.

Sous ce titre de conte de Noël se cache en fait une bonne déculottée pour l'auguste bienfaiteur des enfants...

Ce soir, partis pour faire un tour au marché de noël local, nous arrivons à peu de chose près au moment où le bonhomme en rouge doit arriver.
Effervescence des tout-petits, gestion de stress des parents, accidents de poussettes...tout était là pour la venue du barbu.

Sauf que...

Sauf qu'étaient là aussi des structures gonflables.
Dont une magnifique baleine dont la bouche s'ouvrait de temps en temps, avalant les marmots ravis, qui pouvaient glisser par un tobogan intestinal jusqu'à l'anus arrière en forme de trou du cétacé.

Joie. bonheur. Gamelles.

Le résultat étant qu'à l'arrivée du Père Noël (en camion de pompier, cette année...quel farceur, ce père noël ! et moi qui m'attendait à un tracteur comme l'an dernier ! :-P), les filles ont absolument refusé de sortir du ventre de la baleine.
Gémissements, lamentations, suppliques.
Et puis finalement une explication cartésienne mettant définitivement un terme à l'aura mythique du distributeur de bonbons mobile :
"D'façon, c'est même pas le vrai, alors..." - sueur froide de votre serviteur - "Ah? et qu'est ce qu'il te fait dire ça, ma chérie?" - "ben, celui-là, il a un élastique..." - et de repartir sautiller sur la baleine, laissant votre serviteur regarder d'un air navré le pitoyable élastique retenant la barbe miteuse de notre infortuné Père Noël du cru sur ses joues rubicondes.

Descartes : 1 - Esprit de Noël : 0...

mardi, décembre 11, 2012

Ma vie est un jeu vidéo...

Combien de balles y me reste ?  :-)

Dans tous les bons survival games, style Résident Evil, on rentre à un moment dans un bar, archi-désert, où on fini par tomber sur un zombie dans l'arrière cuisine.
Mais la salle, elle, est complétement déserte et, en général, propre.

Et ben ce soir, chez Quick, en plus du menu Giant XL, on a eu le droit à l'ambiance Résident Evil : personne.
Mais personne, c'était vraiment PERSONNE.


Le resto pour nous tout seuls...
Température extérieure : -1°C

sérieux, la photo d'avant ça y ressemble, non ?!
Manquait plus que les traces de sang sur les murs de la cuisine, et on s'y serait cru.

Ca n'a pas stressé les filles qui se sont éclatées aux jeux.
Pis une heure plus tard, on est repartis.
Toujours personne...

Y'aurait eu une contamination par une bactérie de chez Umbrella Corp. Que ça m'aurait pas étonné plus que ça...

Et dire que la fin du monde est dans une dizaine de jours.
On va prendre ça comme une mise en  ambiance...
Et moi qui prenaient pour des psychopathes les fêlés du bocal qui préparent une éventuelle invasion de zombies...

:-D

dimanche, décembre 09, 2012

Poissons de décembre

Oui, poissons de décembre, rapport au poisson d'Avril, mais bien sûr, ce titre est tellement capillo-tracté que personne n'avait pigé.
Bon. Pas grave. Je m'applaudirai tout seul, aujourd'hui.

Donc, combattant la morosité ambiante (la crise, la guerre en syrie, les articles truqués de Diederik Stapel ...), la famille saute dans la voiture et se dirige à la maison de retraite, où les filles font le plein de bisous de mamies (l'esprit de noël fait des ravages chez le sexe faible), puis à la jardinerie, en compagnie de tata Marianne et de Mémère Yvonne.

Et là, c'est le drame.
Alors que je pensais ne subir que les décorations de Noël et, à la limite, les vitrines animées, ma chère tante se laisse embobiner par ses petites-nièces et leur achète, outre un bonnet de Noël avec option K2000 intégré (mais si, vous savez, les LED qui font dzioum-dzzzioummmm....K2000 ? non ? Tsssss....), des poissons rouges.

Enfin, un blanc et un jaune, de poissons rouges, pour être précis.

Bon, ce qui me semblait être une galère animalière de plus (Si,si. Ai-je besoin de rappeler notre chien Freud, les poules, les souris, et les regrettés Frères Duck-Duck ?), se transformera en fait en planche de salut pour votre serviteur.
En effet, les pauvres poissons ne devant pas rester dans leur sac plus de 2 heures, ils me permettront de fausser compagnie aux shoppeuses de la famille qui, pendant que je bricolerai à la maison, se gaveront de barbe à papa et visiteront un marché de Noël blindé de monde...

Et je desteste quand c'est blindé de monde.
Ouais, je suis un asocial.
Ouais, j'aime personne.
Ouais, je t'emm...

Bref, tout ça se terminera par un bon petit repas avec Tata et Mémère, autour du poulet fraîchement zigouillé de ce matin par votre serviteur.
Miam.

;-D