lundi, mai 25, 2009

BookDaureil...

Le perçeur Fou a encore frappé !

C'est à ma fille cadette qu'il s'en est pris cette fois.
Deux trous dans les oreilles pkus tard, la micro-Louloutte peut se mirer les oreilles dans le miroir comme sa grande soeur...

A new fashion Victim is born !

Et c'est pas gagné pour moi, m'sieurs-dames...
;-P

samedi, mai 23, 2009

Motorhead...

Rien à voir avec l'auguste groupe de heavy métal de chez nos collègues d'Outre-manche.

J'ai juste entrepris le démontage de l'embase de mon moteur Hors-bord.
Celui-là même qui persiste à caler en toussotant au bout de deux minutes, faute de refroidissement suffisant, je suppose.

Coupable présumé : la turbine d'injection d'eau.
Donc on dépose l'embase.

Et là, aprés un démontage digne d'un changement de pneu d'une Ferrari en plein grand prix...ben la turbine est nickel...

Merde.
Keskisspass ?

En y regardant de plus près, il semblerait que la tubulure qui conduit l'eau de la turbine au moteur ait pris du jeu dans son manchon.
D'où désamorçage du circuit d'eau dès que le moteur change de régime.
D'où calage.
En théorie...

Donc j'ai rajouté un p'tit bout de tuyau entre le manchon et la tubulure (SUR la tubulure pour être précis), et zou ! remontage dans la foulée.
Bon, le remontage, c'était plutôt un décollage genre blériot qu'un changement de pneu style Ferrari.
Mais bon. Avec deux-trois jurons, et en gueulant un bon coup, tout rentre toujours dans l'ordre.
;-D

Test du moteur en début d'aprèm, avant de repartir au boulot.
On verra si je le balance à la mer, ou si je me confond en excuse auprès de sa majesté teuf-teufante...

:-P

Test effectué - Et finalement, il a fallu encore redémonter l'embase : y'avait plus d'échappement !
Enfin, y'avait plus d'échappement des gaz par l'embase, je veux dire.
Après examen attentif...ben rien...apparemment tout était bien remonté...
Mystère...
Mystère résolu par le sieur Lejeune, grand mécano à l'oeil de lynx, qui a fini par retrouver sur le sol du garage du vieux un tout p'tit joint qui s'était barré et qui laissait passer les gaz d'échappement par la tige de l'inverseur...

Du coup, tout marche.
C'est t'y pas merveilleux tout ça ?!

;-D

vendredi, mai 22, 2009

Where the Hell is Matt ?

4Minutes 30 de bonheur...

;-D


dimanche, mai 10, 2009

Des cerceaux sur le toit...

Notre sous-sol ressemblant à un entrepôt taiwanais une veille de solde, on a décidé de se débarasser des divers trucs encombrants et pas trop utiles qui y trainent.

Après consultation de la bible de ma chère et tendre, on a décidé de virer tout ce fourbi à la prochaine braderie.

C'est donc ce dimanche que le Vide-grenier de Bricquebec nous a permis de bronzer utile tout en désemplissant un peu notre sous-sol...
;-)

C'est dans une école que c'est tenue la brocante en question, d'où le titre du post.
Quand j'étais gosse, au siècle dernier, y'avait toujours des cerceaux sur le toit du préau, envoyés là par les gosses et inaccessibles pour nos maîtresses en jupettes des années 70...

Et là, grande surprise, les mêmes cerceaux étaient sur le toit du préau, preuve que malgré internet et la crise économique actuelle les traditions perdurent (et la flemme des maîtresses aussi, donc...).
J'étais tout content de les voir, ces cerceaux. ça m'a ramené pour quelque temps 30 ans en arrière, à l'époque du DDT en vente libre à la droguerie, de goldorak, des essais nucléaires à l'air libre et de Récré A2...

Madame étant restée s'occuper de la marmaille à la maison, c'est donc seul que votre serviteur a déballé son bazar et a attendu le pigeon sous un soleil cuisant...

Bilan de la journée : une (petite) remorque vidée, 4€ de frites et de merguez engloutis, 150 € de bénéfices et un foutu coup de soleil qui va me grattouiller pendant une semaine...

Mais bon, rien que pour les cerceaux, ça vallait le coup.
;-D

dimanche, mai 03, 2009

Y'a pas comme un bruit ?

C'est la réflexion que je me suis fait hier soir.
IL était 18H24, je le sais j'ai regardé.
Et puis en moins d'une demi-heure, l'oreille était définitivement bouchée et une légère douleur commençait à arriver.

Le temps de faire la route boulot-maison, j'avais une foutue douleur bien carabinée dans l'oreille.

A tel point qu'une heure plus tard, direction les urgences.
Aux urgences, attente de 45 secondes, puis un médecin me prend direct.
Bon.
Déjà, ça c'est louche.
Moins d'une heure d'attente pour des urgences, j'ai jamais vu.
A tout les coups, ils m'ont refilé à un stagiaire aide-soignant qui fait une blague.

Et je ne suis pas loin, vu le diagnostique.
Le type, avec un accent à couper (genre les terroristes de command&conquer "j'veux des chaussures..."-"ne me frappez pas !"-"c'est du boulot...") me demande ce que j'ai.
A ma réponse "forte douleur à l'oreille droite, sensation d'obstruction et forte pression sur le tympan", j'ai cru lui avoir marché sur le pied par mégarde.
Il a eu comme un blanc - il devait avoir une blouse Wifi et télécharger la section "douleur/oreilles", à mon avis - et puis il a hoché la tête d'un air trés...euh...docte.

Après m'avoir regardé la langue, la gorge, l'oreille gauche, il a enfin une idée lumineuse : est-ce que j'ai de la température ?
Je lui répond que non.
Il me demande si j'en suis certain.
Et là, j'ai du avoir un doute, parce qu'il part dare-dare me chercher un thermomètre digital qu'il me colle direct dans l'oreille droite (celle qui bouche et pis qu'à mal, hein...).
J'ai dû avoir l'air contrarié qu'il me trifouille le conduit auditif endolori, parce qu'il a repris la température de l'autre côté (faut être sûr).
J'ai eu la terrible sensation qu'il allait aussi me coller sa sonde ailleurs (faut mieux être sûr), mais finalement non...
Pas de température.
J'imagine même pas s'il y en avait eu...
Nouveau hochement de tête.
Merde, c'est mal barré.
De fait, j'ai le droit à un tir de barrage de questions sur ma santé précaire.
Questions, réponses, hochements de tête...

A courts de questions (et sans doute d'idées sur les trucs qu'il pourrait me fourrer dans l'oreille), il file téléphoner.
Et puis revient 10 minutes après pour me suggérer de me diriger sur le service ORL de Cherbourg, que tout est arrangé et qu'il a téléphoné à l'ORL de garde et qu'il m'attend.

Bon.
Tout est arrangé, mais j'ai encore salement mal à l'oreille, moi.
Je me traîne donc en râlant jusqu'à ma voiture et file à cherbourg.
Et là, c'est tout de suite beaucoup plus professionnel.
Pour commencer, j'attends.
C'est sérieux, c'est du lourd.
J'attends donc de 20H45 à 22H15.
J'ai mal, mais j'ai confiance. Une attente pareille, tu pense bien, c'est vraiment des médecins ce coup-çi...
22H15 l'ORL de garde arrive...
Et coup de bol pour ma pomme, l'ORL de garde, c'est le chef de service himself.
Qui m'emmène en balade dans les couloirs déserts de l'hosto, lui tout content en faisant le tour des postes de garde et en balaçant des vannes aux infirmières (un rien coinçées de voir le Big Boss se pointer en pleine pause café), et moi qui le suit la tête penchée comme Rain Man en pleine crise...
Arrivée à son bureau, le Big Boss prend ses outils, me farfouille les oreilles, me déclare que je suis un plongeur qu'abuse de la profondeur, que j'ai une otite et une tumeur sur le tympan, et qu'on va l'enlever dans la foulée et puis voilà.
Bon...
Durée du diagnostique 45 sec chrono.
Diantre.

Donc, coup d'anesthésique dans l'oreille (Ouuu...c'est froid....), coup de bistouri bizarre à tube (Ouuu...ça fait du bruit), coup d'aspirateur (Ouuu... ça fait tout vide), coup de coton dans ton oreille (Ouuu... ça fait tout chaud) et dans la foulée coup de téléphone à l'Interne de l'Hosto de Valognes pour lui expliquer qu'une Otite a en général l'air d'une Otite et qu'il faut arrêter de l'emmerder pour des détails pareils surtout quand il est en plein film de guerre (Ouuu...ça calme)
Et pis ce brave homme racroche avec un grand sourire, m'explique que ça fait du bien de "recadrer de temps en temps les internes car ça leur apprend quelque chose" et puis me serre la pogne en me souhaitant bonne fin de nuit, non sans m'avoir fourré dans la main l'ordonnance qui va bien et souhaité bonne chance pour retrouver la sortie tout seul...

Bien
Ben voila, voila...
Retour à la maison à 2H30...
C'est d'la bonne journée qui s'annonce, ça.

:-P

Comme il faudrait pas refroidir, et vu que pour se reposer c'est mort,pour le reste de la journée, ce sera du bricolage.
Au menu du jour, découpe de la poutre du barbecue, mise à dimension, réalisation des embrèvements et... et puis c'est tout.
Faut surtout pas aller trop vite.
Surtout avec une seule oreille.
Et puis j'm'en vais pas me bousiller l'autre tympan à grand coup de rabot électrique et de ponceuse à bande.
Dimanche, tout ça.

Du coup, histoire de pas errer sans but dans le jardin, j'ai démonté les ferrures des volets, pourtant prêt à rependre, histoire de peindre aussi DESSOUS.
Ben si...
C'est mieux.
Et puis ça permet aussi de peindre lesdites ferrure comme il faut.
Sinon, ça fait barbouille.

On est perfectionniste ou non.
On les rependra bien un jour, ces volets.
Et tant pis si les voisins continuent à mater mon derrière le soir quand je me couche.

Et tout ça avec une seule une oreille, alors...
;-D

vendredi, mai 01, 2009

Clochette, y caille ! Moulinons les écailles...

Titre inquiétant mais des plus subtiles pour synthétiser cette journée riche en action et en émotions.

Journée du 1er Mai, déjà (donc Clochette du titre...le muguet, bordel ! faites un effort !)
1er Mai, donc. Mais pas des plus chaud non plus.
Bon, pas grave. On avait prévu un picknic sur la route, picknic y aura.
Même si y gèle.
Na.
Faut pas nous emmerder, nous les natifs du coin, avec la météo.

Du coup, ça nous a valu un regard un rien intrigué des touristes espagnols d'à côté sur l'aire de repos, les deux gosses emballés dans des couvertures, style matriochka de Sibérie, un bout de crouton à la main...
Manquait plus que la pancarte "Jéfain et jeu né plu de travail merci", et on aurait rentabilisé la virée au centuple.
:-D

D'où le "Y caille" du titre.
Astucieux, non ?

Moulinons, on le garde pour la suite.
Passons directement aux "écailles".

Ton esprit Ô combien rompu aux énigmes d'Agatha Christie l'aura deviné : le but de la ballade étant Alligator Bay, sympathique lieu de villégiature des tortues, serpents, crocos et reptiles en tout genre, c'était les "écailles" qui s'imposaient dans le titre...

Bon, en fait, j'avais aussi, en vrac : oeuf, larmes de crocodiles, animal à sang froid, lièvre et la tortue, et enfin "croque-odile"

Mais "Oeuf", à la sortie de pâques ça faisait doublon.
Déjà que j'ai encore un peu de mal à ne pas vomir dès que j'entends "chocolat" ou "Kinder"...

"Larmes de crocodiles", ç'était sympa mais un rien tristounet.
Et puis soyons sérieux : "moulinons les larmes de crocodiles", ça n'évoque pas grand-chose...
à part si on veut bousiller un appareil à mouliner en le remplissant de flotte, mais bon, on s'égare.

Animal à sang froid, je le sentais pas, les filles ayant failli mourir gelées le midi même.

"Lièvre et la tortue", le copyright est posé. ça me filerait les boules de devoir du pognon à la famille d'un type qui m'a torturé psychologiquement durant toute mon enfance avec ses poésies sadiques interminables.

Enfin, "croque-odile".
Bon, j'ai bien connu une Odile, au collège.
Tout le monde se fichait de sa tronche, avec son prénom des années 20. Les enfants lui jetaient des cailloux, les vieux discutaient d'elle dans son dos durant la messe, et les conseils de classe se terminaient toujours par "Bon, parlons maintenant du cas d'Odile...".
Bref, là non plus j'avais un mauvais feeling avec "croque-Odile".
J'ai pas besoin de cauchemarder cette nuit avec cette pauvre Odile de 4°B, poursuivie par une horde de crocodiles dans les couloirs de mon ancien collège, sous les sifflets et les lazzis de mes profs de l'époque.
Donc "Ecailles".
Et j'emmerde celui à qui ça plait pas.

Quoiqu'il en soit, Alligator Bay n'a pas changé.
Depuis l'an dernier, en fait.
Je veux dire moins qu'entre notre première visite (deux baraques avec 3 vivariums et un crocodile asmathique au bout du rouleau) et la seconde d'il y a un an.

Passage obligé, l'enclos aux tortues...
Le personnel venait tout juste de leur filer leur repas, donc du coup elles était toute là, et bien vivantes (ça se battait même un peu pour avoir les brins les plus juteux).

Bon, Océane elle, elle les connaissait déjà les Tortues. Et elle s'est fait la tournée des carapaces, histoire de bien leur rafraîchir la mémoire aux reptiles, à grands renforts de "tap-tap" sur les têtes des bestioles...
Les tortues n'ont pas eu l'air de trop la reconnaitre.
Aucune mémoire, ces trucs. Tssss...

Ambre, par contre, a eu une approche plus prudente. Beaucoup plus prudente.
Limite Starship trooper vs les arachnids.
Puis la phase d'observation passée dans les bars de Maman, les terribles bêtes féroces ont eu le droit à une exploration tactile de la micro-louloutte.

Grand moment de biologie quand les tortues, comme n'importe quelles machines à manger de l'herbe bien bourrées à qui on file encore à manger, ont commencé à ...euh...comment dire...déféquer un peu partout.

Et là, plein de gamins ont eu un moment de flottement sur l'extraordinaire moment d'intimité qu'ils étaient en train de partager...avant d'exploser en grands éclats de rire.

Les filles, elles, ont regardé les ricaneurs en penchant la tête, visiblement inquiètes pour leur santé mentale, avant qu'Océane ajoute, en haussant les bras :"ben oui. Faut bien q'k'ça sorte, le caca.".
Et Ambre de rajouter, haussant les bras de la même façon : "le caca...pas le pot...et c'est pas propre...".
De la logique en barre, ces gosses, j'vous dit.
;-D

Après l'arrêt pipi familial, où on a constaté qu'on avait été bien nouille de se les geler en picniquant into the wild, alors qu'on pouvait tout aussi bien bouffer bien installé à la cafétéria du reptilarium, on a attaqué le coin des serpents.

Toujours aussi sympa, ce pavillon.
Et toujours aussi galère de trimballer deux morpions qui n'ont qu'une envie : aller se planquer dans les "passages secrets", entendez par là les passages donnant accès aux centres de certains vivariums.

L'an dernier, Ambre l'avait visité en poussette.
Mais là, elle a passé son temps à galoper avec sa sœur et à regarder les énormes serpents avec émerveillement.
Et d'entendre certains parents s'inquiéter que les enfants pourraient faire des cauchemards le soir...
Tsss...
Y'a des gens, j'te jure...

Bon, en ce qui concerne les filles, je les ai déjà vues plus traumatisées.

Rigolant devant les varans qui couraient en se dressant sur leur pattes, ou trouvant les couleurs des serpents "MAA-GNII-FIQUES !!!".
Bref, s'il y a des cauchemards, ils seront pour les serpents.

Grand moment d'interrogation devant les oeufs de reptiles, à la sortie...

Pâques étant pas loin, les œufs Kinder débordant des placards de la cuisine, le sujet est forcément brûlant...
Et que je te demande c'est lesquels les œufs de tortues, et que je te questionne sur pourquoi les œufs ils les enterrent...
Dix bonnes minutes que ça a duré....

:-)

Enfin, on aborde la troisième partie de la visite, celle qui nous a valu depuis une semaine des questions du style "est-ce que les méchants crocodiles, il y en a dans le jardin?" ou "est ce que les crocodiles ils mangent des poulets ?"...

Et là, je tiens à vous faire part de l'effroi qui m'a saisi lorsque ma chère et tendre, vraisemblablement poussée à bout par une X ème question sur les dents des crocodiles, a décidé de se débarrasser de notre progéniture, ni vu ni connu. En la balançant directement aux Alligators. En commençant par la plus bavarde, d'ailleurs. La preuve en image sur votre droite, m'sieurs-dames...

Je tiens, Ami Lecteur, à tempérer la juste colère qui t'anime en découvrant cette image d'un suspense insoutenable.
Ma femme, cet être de bonté et de patience, toute faite d'abnégation maternelle et de douceur, dont le but ultime est la satisfaction perpétuelle de ses sales ingrates de filles égoïstes et hurleuses (si,si. Hurleuses, parfaitement), mon épouse donc n'est, dans toute sa perfection, finalement qu'un être humain.
Eh si.
Difficile à croire, mais pourtant irréfutable.
Aussi se doit on d'être compréhensif lorsque on sait de quel matraquage psychologique sont capable les deux affreuses en jupes courtes.

De toute façon, les crocos n'en ont pas voulu.
C'est pas con un croco.
Et pis ça n'aime pas les braillements des gosses suspendus dans le vide.
D'ailleurs, les bébés crocodiles ne crient pas.
Et si je me réincarne un jour, ce sera en papa crocodile.
T'as même le droit de bouffer tes gosses si le coeur t'en dit.
Aucun service social n'ira te casser les oreilles. D'ailleurs les crocos n'ont pas d'oreilles, juste des trous.
Mais je m'égare.

Donc la visite s'est une fois de plus terminée par la serre étouffante des crocos, chauffée à 28°C pour pas que ces sales fainénants choppent un rhume (il FAUT que je me réincarne en croco, moi...), température idéale pour les porteurs de lunettes qui trimbalent en plus un appareil photo reflex aux objectifs trés fragiles...

Mais bon y'a pire dans la vie qu'un peu de buée et six litre de sueurs perdus à l'heure.

Sortant d'Alligator Bay, avant de rentrer dans nos marais fétides, un p'tit tour au moulin de...euh...au moulin, donc.
D'où "moulinons" du titre.
Ben si.
Moulin/moulinons...
Non ?
Laisse tomber.

Quoi qu'il en soit j'aurai au moins une photo prouvant que j'étais là.
Pour la postérité.

Le mécanisme de régulation d'ouverture des ailes du moulin était franchement sympa.
Tout con, logique mais j'adore ces vieilles mécaniques.
ça nous change des régulateurs éléctroniques des éoliennes qui ont les pales qui foutent le camp en plein vol ces temps-çi...
Evidemment ça nécessite qu'un type tourne un volant de temps en temps en fonction du vent...

Donc, histoire de clore le post, une bonne ballade.
Voilà.

;-D