Le Pays de La "BoisDormant"...

Virée Familiale au Pays de Mickey et de la Belle au Bois Dormant,ou comme l'appelle les filles, la "BoisDormant"...
Que du bonheur et des petites bouilles émerveillées.
Le Prince Charmant a même fait un bisou à Océane !!!

Deux point cependant :
      - Ne jamais monter dans une attraction avec des touristes italiens (ou alors emmener des bouchons anti-bruit).
     - Eviter l'attraction "Blanche-Neige et les 7 nains"...sauf si vous voulez terrifier vos gosses.
Sinon tout c'est passé comme prévu. Comme quoi, ça valait le coup de bien planifier à l'avance et d'y aller en semaine.

;-D

Fêtes des Pères

J'ai reçu aujourd'hui mon magnifique cadeau de fête des pères : une très jolie cravate custom de la part d'Océane, et une magnifique guirlande fabriquée avec des intercalaires de classeur de la part d'Ambre.

Les voisins mangeant à la maison ce midi, difficile de faire l'impasse sur le port de la cravate...

Que veux-tu, Ami lecteur, on est top-tendance ou on n'est rien.
Et je fais bouffer ma cravate à celui qui pouffe...

;-D

Porte en place...

Ayé, cette fichue porte est finie et en place.
Il reste le crépi a finir, et surtout les briquettes du foyer à poser.

Ensuite, il ne manquera plus que l'Opus incertum de la dalle à terminer, mais là, c'est loin d'être gagné...
:-\

Découpage, vernissage...et filetage

La porte du barbecue, commencée avant-hier, prend forme tranquillou.
La découpe est faite, les rainures des planches faites à la défonceuse s'emboîtent correctement, et le tout , après un bon coup de xylophène, est verni.
Y'a plus qu'à attendre que ça sèche.

Grand moment de solitude quand je me suis aperçu que la clenche achetée pour fermer la porte était munie qu'un carré sans trou au bout (ou quoique ce soit permettant d'y fixer quelque chose...).
C'est sans doute prévu pour être pris en sandwich avec une autre poignée.

Du coup, bien énervé, j'ai fileté un bout du carré. Comme ça, le pêne tiendra avec un bon vieux boulon, et ça simplifiera tout le bazar.

Non mais, sans déconner...
Faut pas me gaver avec les carrés, moi.
:-)

Au programme aujourd'hui : crépi, joints et suite pour la porte (si le vernis est sec).

Festina Lente

Le Barbecue avance...
Doucement, mais ça avance.

Les briquettes de parements sont collées sur la table, au ciment et au ciment réfractaire dans le foyer.
Une bonne galère pour coller les nez sur les rebords.
La prochaine fois, faudra commencer par ça. ça simplifie bien la suite.
Le crépi est commencé et le foyer est en bonne voie.

Demain, je commence la porte.

;-)

Tite Bouffe en famille

A peine sortie de l'Hosto, munie de son nez tout neuf (ne t'inquietes pas, Ami lecteur, il s'allume toujours lorque le thermomètre passe sous les 10°C), ma chère et tendre invite ses parents, et les miens à venir casser la croute...
Enfin, à la base, c'était pour le kawa...et puis grâce à son tout nouveau nez magique, comme ma sorcière bien-aimée, ma chère et tendre nous a sorti de quoi nourrir tout ce brave monde...

Du coup, Tonton Juju, nommé grand conducteur pour l'occasion, se voit confié la dure tâche de la cuisson à point de l'Agneau, votre serviteur étant légèrement handicapé pour prendre les virages à la corde jusqu'au barbecue.
Tonton Juju s'en est sorti comme un chef, quoique légèrement enfumé (bon, ça lui fera quelques clopes de moins à se taper. Nyark,nyark,nyark... ;-P)
Et les cerises des beaux-parents n'ont pas fait long feu, elles non plus...

Bref, un bon petit repas de famille.
Les loulouttes sont ravies.

Pifométrie... (j'le sens pas, mon titre...)

Une petite pensée pour ma chère et tendre qui, lassée de ses sinusites à répétition, se fait raboter les cornets pifoïdes, le tout sous anesthésie générale...

Le grand jeu, quoi... alors que moi j'ai même pas eu le droit à ma dose de morphine quand je me suis pété la guibole...qu'on me parle de parité, après ça.
Tsss...

Du coup, la reine du schnorkel passe deux-trois jours à l'hosto, le pifou dûment bourré de coton, histoire qu'elle ne se vide pas de son sang via ses tout nouveaux conduits nasals à réaction, laissant à votre serviteur la sinistre tâche de faire tourner la cahute et de canaliser l'énergie de la marmaille ...

Si,si. A réaction les conduits débouchés de la Doudoune, l'opération qu'elle subit s'appelle d'ailleurs une Turbinectomie.
C'est dire si les médecins ont le sens de l'humour.
Bref, retour de la bête dans les jours prochains, si tout va bien.

Et tout ne va pas bien, en tout cas dans mon marais (Qui a osé me parler de Shrek ?)
Y pleut, ma brave dame.
Et l'eau, ça me coupe de toute velléité de bricolage.
Du coup, le Barbecue, arrivé quasiment au stade des finitions, n'avance plus des masses.
En même temps, le crépi sous la flotte, ça se pose assez mal...

Du coup, énervé par la jungle qui pousse devant la maison, j'ai péniblement clopiné en poussottant ma tondeuse, au fi de ma patte en vrac tellement j'avais honte de l'état du jardin.

Bon, y'a du mieux, mais y reste du boulot. Le problème c'est qu'avec une demi-jambe à droite, l'entretien va moins vite que l'herbe ne pousse...

A vue de nez, c'est pô gagné, tout ça...
;-P

De l'Air à 430€ le litre...

Après en avoir bien ch** depuis deux jours à changer le servo-frein sur ma titine (jamais vu un bordel pareil ! démonter presque tout ce qui est à droite du moteur pour arriver à couler la main et desserrer du bout des doigts deux pauvres boulons à la con... c'est vraiment du n'importe quoi...), me voilà obligé de faire la purge du circuit de freinage.

Un indélicat ayant cru bon de compléter le niveau de liquide de frein avec du Dot 5, voila la raison de mon problème de frein.

Dot 5? Keskydi ?
Explication : il existe plusieurs sorte de liquides de frein (ou d'embrayage). Des hydrophiles (y z'aiment l'eau) comme le Dot 3, le Dot 4 et le Dot 5.1.
Et pis un Hydrophobe, le Dot 5 (A base de silicone et donc qui n'aime pas l'eau).
Les différences entre les liquides viennent de leur pérennité (faut changer plus souvent un circuit à base de Dot 3 qu'un à base de Dot 5.1, par exemple) et surtout de leur T° d'ébullition (le Dot 5.1 a un point d'ébullition plus élevé, donc le freinage est plus efficace plus longtemps quand les freins sont sollicités).
Bien sûr, le prix à tendance à monter avec les performances.

Soucis : alors qu'on peut mélanger allégrement les hydrophobes, il ne faut JAMAIS (J-A-M-A-I-S !!!!) mélanger du Dot 5 avec les autres, sinon on obtient ...de la mayonnaise.
Et la mayonnaise est un très très mauvais liquide de frein.
Un très mauvais liquide tout court, d'ailleurs...

Donc, au vu de la merde émulsionnée qui sort de mes valves de purge de frein, un inconscient, sans doute doté des meilleures intentions, a ajouté du Dot 5 à mon circuit de frein remplit au Dot 4 (au Dot 3, à l'origine selon la notice du bon Docteur Peugeot)...

Y'a donc plus qu'à vider entièrement le circuit, le nettoyer (Saint Alcool à brûler, prend pitié de nous) et le re-remplir avec le liquide de frein adéquat.

Et on en arrive à mon problème du jour :
pour purger une voiture, Ami lecteur, si tu l'as déjà fait tu le sait bien, il faut être deux.
Un qui appuie sur la pédale de frein et qui maintien enfoncé. Et l'autre qui joue de la clé sur la valve de purge de chacune des roues, style un coup-j't'ouvre/ un coup j'te ferme.
Jusqu'à plus voir de bubulles...
Le tout entrecoupé des traditionnels "appuie!", "relâche!","appuie !", "putain, mais relâche pas, bordel !".
Bref de quoi foutre en l'air un couple moyen, vu qu'en général c'est madame qui pédale pendant que votre serviteur, le pauvre, y se casse le dos sous les roues.

Or içi, non seulement y faut purger le circuit, mais il faut aussi le vidanger. Donc virer entièrement ce qui sert de liquide.
Or, Sympathique lecteur, lorsqu'on pompe à la pédale de frein, on actionne en fait des coupelles dans le maître-cylindre. Et les coupelles, pomper à vide, elles aiment pas ça.
Du tout.
Un peu comme une pompe à eau qui tourne à vide : ça baise les joints (surtout si on a nettoyé le circuit à l'alcool à brûler), ça chauffe, pis après y'a plus qu'à changer le maître-cylindre.
150€ d'occas' à la casse.
Pas Glop.

Or, en me renseignant, il existe une méthode miracle, d'ailleurs utilisée par les professionnels : mettre le circuit de freinage sous pression.

Pour ce faire, le garagiste utilise une sorte de compresseur à liquide de frein, qui injecte le nouveau liquide sous pression, en faisant sortir l'ancien par les valves de purge.
Pas con.
Tout simple, mais fallait y penser.

D'ailleurs, il existe aussi dans le commerce un appareil identique, vendu au clampin moyen, pour la somme modeste de 360 € HT (430, 56 € TTC pour les matheux).
Bon, ça fait pile 3 maître-cylindres, au prix de la casse...

En y réfléchissant un peu, mettre un circuit sous pression, c'est quand même pas la mort.
ça justifie quand même pas les 450€ du bordel...
Du moment qu'on ne balance pas une pression de cinglé genre 3-4 bars à grand coup de compresseur, histoire de faire sauter le bocal à liquide de frein, ça devrait être gérable.

Bon, la solution de relier une roue dégonflée à 1,5 bars au bocal de liquide de frein, c'est un début, mais il faut compléter sans cesse le niveau de liquide, et éviter d'introduire des bulles dans le bazar, sinon on recommence tout.

Du coup, la solution est toute conne : un vieux pulvérisateur à main, rempli de liquide de frein (rempli...euh...juste un fond, hein ! le circuit en entier fait 537 ml, alors...), mis sous pression légère (pas à bloc, on veut pas faire sauter les joints non plus !) et raccordé de façon étanche au bocal de liquide de frein...

Bouchon de bocal à la casse : 2€
Valve tubeless : 1€ pièce
Tuyau : 0,75 € le mètre
Pulvérisateur : réccup'.

Virer l'obus de la valve de gonflage (un coup de tournevis), bien étanchéifier la valve sur le bouchon du bocal, et zou : Pour 4 €, j'ai mon système de remplissage de liquide de frein sous pression.

Avec en prime le bocal de réccupération pour le liquide de frein usagé (voui, parce que c'est hyper-corrosif, cette saloperie!).

Le luxe, quoi !

Non, sérieux. 430€, faut pas déconner, quand même...

;-P

3 ans

Ben voui, la Crapouille prend ses 3 ans !

Et nous un p'tit coup de vieux...

Que du Bonheur !
Bon, on se fera une p'tite bouffe avec les parents un peu plus tard.

La louloutte a quand même soufflé ses bougies, pour marquer l'évènement.
Maman avait fait un gâteau au chocolat, au cas où...

Une femme prévoyante, ma chère et tendre.
;-D

ça roule...ou pas

Journée placée sous le signe de la fête des mères, elle avait débuté par une initiation au roller avec les deux loulouttes dans le sous-sol, pendant que ma chère et tendre se crevait au boulot (faut bien que le fric vienne de quelque part, hein...).

A l'arrivée de cette dernière à la maison, distribution de bisous et de cadeaux (les loulouttes se sont éclatées à l'atelier création de cadeaux, cette année) puis décision fatale d'aller faire du roller en famille au Skate-park.

Fatale parce qu'au bout d'un moment à regarder les rampes, impatient d'épater son équipe de fans miniatures et probablement influencé par la performance de Thaïg Kris à la Tour Eiffel y'a deux jours, votre serviteur s'est soudain senti l'âme d'un rider pur et dur.

Pas de Tour Eiffel dans le coin, c'est donc de la rampe la plus proche que je saute, tel Don Diego sur Tornado.
Bon, dans mon cas, la ressemblance s'arrête là, parce que Don Diego bénéficie d'une certaine grâce farouche sur son cheval, tandis que moi, vautré sur mon derrière en bas de la rampe, le seul truc farouche qui m'est accordé, c'est un furieux mal au c**, et pis à la jambe, maintenant que j'y pense.

A la réflexion, lorsque je me relève, j'ai bien plus mal à la jambe (et au doigt) qu'à mon splendide fessier (en même temps, vu le rembourrage, y'avait pas grand-risque, hein...).

Bilan des urgences (ma deuxième famille) : fracture du péroné et de l'auriculaire...
Comme on est dans un coin de balaises, d'Hommes, des vrais, des durs et élevés au grain (du malt, sans doute), les urgences n'ont pas jugé bon de me plâtrer, se bornant à me faire faire vingt bornes en bagnole pour aller acheter une attelle high-tech (wow... y'a plus de velcro que sur des sous-vêtements de la NASA).
Y z'ont pas jugé bon non plus d'aller me chercher en chaise roulante (c'était sans doute bien plus poilant de me regarder claudiquer à travers tout le parking, en faisant des grimaces), et pareil pour le départ : démerde-toi, t'as ton ordonnance, marche ou crève...

On en saura plus jeudi, puisque j'ai rendez-vous avec l'orthopédiste (un membre de ma deuxième famille que je ne connais pas encore) pour voir exactement la suite des évènements (plâtre, amputation, Tranxène ou Zyclon B...).

Bon, le point positif, c'est que je suis en vacances avec trois semaines d'avance.
Le point négatif, c'est que je ne peux rien foutre de potable à part sautiller en poussant des jurons.
Suis jamais content de ce que j'ai moi...
;-D

Ah si ! les fraises commencent à arriver.

Du coup, malgré la terrible douleur qui me terrasse, on a tout bouffé ce soir, en mixant le tout avec les yaourts fait maison de madame...
Miam !
Bientôt les glaces...
Donc, le moral va bien.
:-P

Freud...

Un nouveau membre de la famille a fait son apparition ce soir !

Ami Lecteur, je te présente donc FREUD.

L'air pensif, sans doute obsédé par les femmes (y faut mieux dans cette baraque...), une bouille de test de rorschach, le nom s'imposait tout seul.

Bon, le bain d'arrivée lui a fait le plus grand bien, et son altesse à pois est en train de faire connaissance avec les meubles et les occupants de la maison...

Bémol pour nous, Freud est malade en voiture...
J'ai deux tapis de coffre et une lunette arrière repeinte style vomi de croquette qui m'attendent au sous-sol... Et c'est sans doute pas les pires taches qu'il y a dessus...

Ahhh, les joies d'avoir un jeune chiot...
;-P

Chaud les Ecrous ! Chaud...

Changement d'orientation dans le bricolage aujourd'hui, avec le changement des amortisseurs avant de la Scénic, qui avait une furieuse tendance à se prendre pour une patineuse de haut niveau sur la route...

Au démontage, rien à dire, tout se passe bien.

Sauf (y'a toujours un 'sauf que' dans ma vie, moi) au moment de dévisser la vis BTR de la coupelle, après avoir compressé les ressorts, ben...je m'apercois d'une grave lacune dans mon équipement d'apprenti-mécano du dimanche : j'ai pas de clé à pipe de 22 débouchée...

Si,si.
des 20 ou des 24, j'en ai...même plusieurs.
Pis des douilles de 22 pour cliquet, j'en ai aussi. Là aussi en plusieurs exemplaires.
Même une clé à pipe de 22 NON débouchée, j'en ai une.

Mais de clé à pipe débouchée de 22, que nenni.

Donc , zou! dans mon magasin de brico préféré (ils viennent de s'agrandir...c'est un peu grâce à moi, tout ça...) et Vlan! que je te colle un coup de chéquier monumental de 25€ sur la table de la brave caissière avant de repartir dare-dare sur mon établi forcer comme un bourrin sur mon écrou à la con.

Ecrou qui finira par céder, grâce à la clé magique toute neuve, et aussi un peu aux menaces de le tronçonner que je lui ai susurré vers la fin...
Après observation, TOUT le filetage est entièrement barbouillé de frein-filet...
Pas étonnant que j'en ai chié un max pour dévisser tout ça.
Histoire de rire, j'ai ensuite donné l'écrou tout frais dévissé dans les mains de ma chère et tendre, toute innocente, qui découvre du coup une des Lois de la thermodynamique appliquée à la mécanique : un écrou collé au frein-filet et dévissé en force, et ben ça brûle...
Si,si. Je suis farceur à mes heures...
;-D

Du coup, le reste a été tout seul, et maintenant la Scénic ne sautille plus gaiement sur la chaussée mais colle à la route comme les limaces sur mes pieds de courgettes...

Encore une victoire de Canard, donc.
;-P

Du PQ au Poteau...

Un épisode de plus dans mon épopée Barbecuetesque avec le montage de l'avaloir ( comment ça, 'enfin...' ?).
Du bon, du gros, du costaud.
Bon, du lourd aussi, certes, mais au moins y s'envolera pas comme ça.

S'en suit une bizarrerie que les grands penseurs futurs et autres scientifiques du XXXIIIe siècle jugeront à sa juste valeur, surpris sans doute par tant d'audace dans une époque si assombrie par la crise économico-politico-psychologique : comme il faut des petits piliers pour maintenir l'espace à l'arrière du barbecue et permettre l'évacuation des fumées, j'en ai fait grâce à un recyclage poussé de nos déchets ménagers.

Si, Ami lecteur que je sens béat d'admiration, tu lis bien : de l'authentique rouleau de PQ carton inside.
Avec un fer à béton en plus.
Y faut toujours mettre du fer à béton.
Y'a jamais assez de fer à béton dans le béton.
D'ailleurs, les blockhaus du débarquement, ben le béton fout le camp, mais pas les fers à béton.
C'est dire...

Reste plus qu'à nous fabriquer une 'tite plaque pour coiffer tout ça, et pis on pourra se mettre sur le foyer proprement dit (mortier réfractaire et briquettes, j'en salive d'avance.

Yeeeh-a...
:-\

Week-end Guerrier

Débarquement de la famille Beucher pour un week-end d'étude sur le Jour J.

D'"étude", parfaitement.
Meuh si.
Même les mayennais, ces êtres venus d'ailleurs (la mayenne, donc) ont besoin de se cultiver...

Petites visites de cimetières (on sait s'amuser , nous les Normands), de vestiges de Batterie de défense (on est tombés en plein tournage de film) et du seul musée qui vaille le coup pour le débarquement : Sainte-Mère Eglise.
C'est pas que les autres musées de la région soient nuls, mais les musées sont chers (me parlez pas de celui des "galeries 117" de Cherbourg, c'est une véritable honte de payer un prix pareil...), et celui-là à le mérite de synthétiser tout ce qu'il y a  à savoir sur le D-Day pour le pékin moyen.

Après, pour celui qui fait une thèse sur ce que bouffait le matin au p'tit déj le soldat Daniels P. Jones de la compagnie F du 506° régiment d'infanterie parachutiste de la 101° aéroportée américaine, on risque d'être un peu court, c'est vrai...

;-P

Expo Trappeur

Aujourd'hui, en fin de journée, virée familiale à l'école d'Océane pour admirer l'exposition des travaux de nos chers bambins cette année .

Thème de l'année : la Forêt.

Suites aux sorties faites dans les bois, on a pu contempler des œuvres artistiques à base de feuilles de moulages, dessins et autres collages.

Et c'est du sacré boulot pour des mômes de 5 ans !

Comme dans la forêt locale moyenne, les animaux étaient aussi représentés... moulages d'empreintes, dessins et aussi des vrais...mais juste un peu empaillés.

C'est absolument pas mon truc, mais force est de constater que les pauvres bestioles naturalisées (blaireau, cerf, renard et même un gros sanglier...) étaient quand même vraiment bien faites et que Ambre a passé son temps à les regarder de près (surtout les dents...) et à les toucher.

Perso, j'ai mieux aimé le thème de l'année dernière (le Cirque), mais bon, c'était quand même vraiment sympa de voir le boulot de nos bout d'choux...

Et clou du spectacle, la "photo-feuille" !
Les deux loulouttes se sont fait tirer le portrait sans se faire prier...

Si c'est pas du sourire, ça...

:-D

Un coup de déprime ? : Prend ton égoïne...

Bon, si jamais tu t'emmerdais pendant tes vacances, Ami Lecteur, fait comme moi :
Prend une bonne grosse poutre en chêne bien sec, style 25 cmx 25 cm, prend ton égoïne un peu fatiguée et scie, mon pote ! Scie !!!!

Bien sûr, comme tu vas aimer ça, recommence quatre fois, dont deux fois avec un angle de 36 à 38 degrés (non,non, 45°, c'est pour les tapettes... nous on coupe à 36°, ma bonne Dame !).

Et si toi aussi à la fin tu as les bras complètement morts, ben fait comme moi : admire ce travail fabuleux et l'harmonieuse manière dont il se marie avec le gros tas de béton en vague forme de barbecue derrière lui...

Allez, tout ce boulot, ça mérite bien une photo (avec la future cuisinière, en plus).

Et dis toi aussi que demain, il faudra trouver le moyen de fixer ces trois put#*ns de plaques de 50kg/pièce au dessus de cette poutre, le tout sans se flinguer le dos (mal barré) ni se fracasser la tronche (VRAIMENT mal barré).

Les vacances, c'est que du bonheur...
;-P

Mieux vaut une Poutre dans ton oeil...

...qu'une boîte d'allumette dans le jardin du voisin.

Ben quoi ?
Bon. En même temps j'ai jamais été doué pour les dictons.

Ce titre dithyrambique (si,si) pour te signifier, Ami lecteur, que j'ai fini par trouver une poutre pour le Barbecue infernal.

30 euros la bête, soit le tiers d'une neuve.
Et puis celle-là à de la gueule.

Y'a plus qu'à couper...
;-D

les congés : un sacré boulot...

Petite semaine de congé.
Mmmm... ça fait du bien...
:-D

Au menu : la trappe du grenier à finir, le barbecue (ça commence à trainer, cet histoire de barbeuc', faut dire), les volets à terminer et le jardin/potager a mettre en chantier pour cet été...

Mmmouais, pas sûr qu'une semaine suffise.
Surtout que le père Philippe doit venir passer le week-end. ça va pas aider non plus, ça...

Allez, aujourd'hui on commence par le Barbecue.

Les dernières dalles sont démoulées et je commence à les monter.
C'est lourd, mais c'est plus solide que les briques prévues à l'origine..

Bon, ça à l'air de tenir (plus ou moins...on verra si y'a pas un mort à la fin de la semaine...).
Du coup (motivé, moi), on embraye sur la pelouse à tondre et le potager à planter (courgettes, blettes, salades, fraises et petits pois mange-tout).

La trappe du grenier, on verra ça demain...ou Lundi
Faut pas me gaver moi, quand je suis en vacances.
:-)

Jamais deux sans trois...

Et voilà, au terme d'un marathon de démontage-remontage de poulie refaite, la 605 repart...

Bon, ça fait deux fois qu'on répare cette foutue poulie, alors là, on y a mis les moyens :
Ré-usinage de la poulie avec pose d'une frette et en plus un épaulement, boulon renforcé que le Titanic aurait pas coulé avec, rodage par notre ingénieur en mécanique appliquée Jean-Claude, montage au frein-filet qui collerait même un poulpe sur un toboggan...
Bref, du lourd .

Maintenant, reste plus qu'à voir les freins et l'étrange bruit de roulement genre RRRRRRRrrrrr (sans doute un roulement...d'où son nom..)

Si,si, j'ai le moral.
De toute façon, les vacances approchent, alors...

;-D

Usinage...

La poulie maudite de la 605 étant introuvable en casse (ou même en neuf, vu que peugeot a arrêté la production), décision a été prise d'usiner celle existante.
Mais si.
Faut pas nous brancher,nous.

Du coup, Jean-Claude s'est lâché sur son pied à coulisse et nous a concocté un joli schéma pour l'entreprise qui va nous usiner tout ça.

Résultat Mercredi.

:-P

Le coupeur fou

Vu le temps splendide des derniers jours, l'effort de la famille (enfin...le mien...) se porte sur le jardin.

Étape du jour : le ratiboisage de la haie du potager.
Relique de la haie d'aubépine que j'ai fichue en l'air il y a peu, je l'ai diminuée des trois quarts avec la tronçonneuse du Vieux, empruntée pour l'occasion.

Reste plus que le petit bout (coloré en violet), de quoi avoir un minimum d'intimité quand je jardine tout nu.

Il ne me restera plus qu'à installer le portail entre les deux haies, histoire que les Loulouttes (ou leurs copines) n'aillent pas se balader dans le jardin des voisins...

;-D

Les jupes à ma femme...

Petite pause dans le démontage/réparation de la bagnole infernale, faute de pièce de remplacement...

Du coup, lors de la pause de ce midi, suite à une info de mon frangin (merçi Juju !), j'ai déterré une loi plutôt sympa pour nos chère et tendres moitiés, qui nous cassent les oreilles avec leur égalité des sexes...

La loi du 26 Brumaire an IX de la République dispose :

"toute femme désirant s'habiller en homme doit se présenter à la Préfecture de police pour en obtenir l'autorisation...". "...Cette autorisation ne peut être donnée qu'au vu d'un certificat d'un officier de santé...".

Deux circulaires de 1892 et 1909 autorisent le port féminin du pantalon... si la femme tient par la main un guidon de bicyclette ou les rênes d'un cheval !

En fin d'année 2003, le député UMP de l'Indre Jean-Yves Hugon a demandé au gouvernement français, par le biais d'une lettre envoyée à la ministre déléguée à la Parité et l'Egalité professionnelle, Nicole Ameline, de revenir sur cette loi datant du début du XIXe siècle qui interdit toujours aux femmes le port du pantalon.
En 2004, à l'occasion du bicentenaire de l'écrivain George Sand, "qui avait dû se soumettre à cette autorisation pour porter le pantalon auprès de la Préfecture de l'Indre", le député suggère "de mettre en conformité notre droit avec une pratique incontestée et incontestable des femmes".

Nicole Ameline avait répondu à M. Hugon "qu'il ne lui paraissait pas opportun de prendre l'initiative d'une telle mesure dont la portée serait purement symbolique" et de poursuivre : "pour adapter le droit à l'évolution des moeurs, la désuétude est parfois plus efficace que l'intervention", soulignait la ministre, ajoutant toutefois : "Néanmoins, vous avez toute latitude pour mettre en valeur la contribution de George Sand à cette évolution à l'occasion du bicentenaire de sa naissance"....

Désuétude ou pas, cette loi est donc toujours en vigueur et le port du pantalon est donc toujours interdit aux femmes, alors que de nombreux règlements (dont ceux de la Police et de la gendarmerie) obligent les femmes au port du pantalon !!!
Et toc.

Cela dit, pour les femmes en mal de futal existait le fantastique 'Permis de Travestissement'...

Si,si. J'invente rien :

Rosa BONHEUR, une célèbre femme peintre du XIX° siècle, première femme à recevoir la Légion d'Honneur en 1865 des mains de l'impératrice Eugénie, allant résolument à l'encontre des normes, portait les cheveux courts, s'habillait de vêtements masculins - c'est à dire de pantalons - qu'elle ne pouvait mettre sans un permis de police renouvelable tous les six mois....

Permission de travestissement accordée à Rosa Bonheur.

"Paris, le 12 Mai 1852 - Nous, Préfet de Police. [...] Autorisons la demoiselle Rosa Bonheur demeurant à Paris, rue ... n° 320 à s'habiller en homme ; pour raison de santé sans qu'elle puisse, sous ce travestissement, paraître aux Spectacles, bals et autres lieux de réunion ouverts au public. La présente autorisation n'est valable que six mois, à compter de ce jour."


Comme quoi, les lois c'est pas mal fichu...faut simplement qu'on les applique...

J'vais me faire des amis au boulot, moi...
Je ne parle même pas des félicitations de Madame quant elle va lire ce post..

;-P

C'te bagnole de daube...Episode 12

Bon.
Je suis un type d'un naturel relativement calme.
Si.
Zen attitude en toute circonstance.
Une sorte de mélange entre maître Yoda (en moins vert) et le Dalaï-Lama (en moins opprimé).

Bon, sauf quand je bricole où j'aime bien gueuler après les vis, et aussi quand je conduis où j'aime bien gueuler après les automobilistes, et aussi quand je répare ma bagnole où j'aime bien gueuler après ce put*%@ de moteur où on ne peut pas passer la main entre deux tuyaux.

Mais bon, hier matin, 4H30 sur la route du boulot, quand la voiture s'est mis à chauffer et que le diagnostique est tombé (la poulie dont on a changé le vis l'autre fois semble s'être ovalisée autour du boulon changé et bat dont inutilement sans entrainer la pompe à vide et celle à eau...), ben j'ai eu comme une bouffée de colère.
Si.
Je suis comme ça moi : passé la douzième réparation sur la voiture, je deviens aggressif...

Du coup, me revoilà à jouer les Tanguy chez les parents, le temps que les réparations soient faites (10 heures de démontage pour un cache à la con et ce qui est autour, et le remontage ensuite...)

Le point positif (rien à voir d'ailleurs), c'est qu'Océane est revenue de l'hôpital.

Le point rigolo, c'est que les vieux viennent enfin d'acheter leur camping-car, et que c'est de vrais mômes (et que je te dis bonjour à tout les autres camping-caristes, style 'communauté de la route', et que je te trouve les astuces cachées dans les tréfonds du bazar à roulette, et que je t'explique pendant deux heures les joies des housses de siège en serviette éponge ou celles du chauffage Truma, et que je te lis le mode d'emploi comme si c'était la Bible...).

Perso, je suis content pour eux, et ravi pour ma Louloutte, mais si je pouvais mettre la main sur un ingénieur Peugeot, je lui carre sa foutue pompe à eau de 605 (et sa poulie) dans le c...

Bordel.
:-O

Back to the Hosto...

Au bout de deux jours (et surtout de nuits) de vomi non-stop, le stock de draps et de pyjamas des filles étant réduit à presque plus rien, décision a été prise d'emmener Océane aux urgences pédiatriques...

Obligé de zapper le boulot Samedi aprèm' pour cause de chère et tendre retenue à l'hôpital, de nourrice indisponible et de grands-parents de sortie, ce n'est que le soir que j'ai appris qu'Océane était hospitalisée.

Forte déshydratation (tu m'étonnes! Elle vomissait même le peu d'eau qu'elle buvait...) et mal mystérieux, les hommes en blancs l'ont donc mis en chambre d'isolement...

On en saura plus demain. Enfin, j'espère.

La série noire 2010 commence à bien faire.

:-\

Les Cloches cuvée 2010...

Ben oui, les cloches sont passées... et la récolte a été une fois de plus gargantuesque.
Si avec tout ça y'a pas de crise de foie dans la famille...

Ah oui ! Mamie Gi a pris encore un coup de vieux dans les gencives.
le 56°.
Ouille...
Heureusement qu'il y a de l'aide pour souffler les bougies.

;-D

La dernière Blague de Goliath.

Notre gros Tut-tut nous a quittés ce midi... :-(

Bien fatigué, mais blagueur jusqu'au bout, il aura attendu le 1er Avril pour nous faire un ultime poisson.

Il est mort juste après mon départ ce midi, un peu avant que Christelle ne rentre.

Apparemment, le coeur a lâché.

J'ai quand même pu lui faire un gros câlin ce midi... sans savoir que ce serait le dernier.

On passera sur l'enterrement, y'a pas grand chose à en dire sinon merçi au Vieux.

12 ans de sniffages matinal, de courses de 'Flon-flon', de truffages sous la couette.
Un gros patapouf câlin, pas méchant pour deux sous, incapable de mordre quoi(qui) que ce soit, mais qui ne pouvait pas piffrer les chasubles fluos de la DDE...ou des gendarmes.. ;-P

Tu nous manque, Don Diego de la Nonos, Patatruffe ou Vieux Chicatu...
Où que tu sois, bonne chasse aux nonos.