lundi, juin 30, 2008

Baptèmes et Marathon

Bon, je suis encore en plein tri des photos, donc le post va évoluer...
Et puis, y'en a des choses à raconter...
Désolé pour les impatients, mais c'est comme ça...




Fin donc, ce Lundi après-midi, du Baptême des deux Loulouttes.
Cérémonie fantastique (au sens premier du terme) et marathon organisationnel pour nous.

Bon, là, je vous passe la semaine précédant la cérémonie, premièrement parce qu'il y a des souvenirs plus poilants et puis parce qu'on n'est pas dans un film de Buster Keaton.
Disons que la semaine fût...euh...intense. :-D

Commençons plutôt par la grandiose, l'inénarrable, la spectaculaire cérémonie religieuse.

Où plutôt commençons par, dix minutes avant l'heure H, la disparition de Beau-papa et des amis qu'il convoyait, le tout en pleine ligne droite.

Malgré les efforts de Mamie Gi pour le joindre, le soldat Jo avait bel et bien disparu avec toute son unité dans le Bocage Normand, aux environs de Sainte Mère l'Eglise...

Rapidement une mission suicide de sauvetage est lancée.

Il s'agit pour votre serviteur de :
- réaliser le largage tactique de Belle-Maman, la Doudoune et les deux Mouflettes en robe de baptême sur le parvis de l'église, en plein milieu de la famille qui n'y captera probablement rien;
- rallier le soldat Jo et son unité en territoire inconnu;
- guider par tous moyens, y compris coercitifs, ledit soldat Jo et son unité de soutien jusqu'au parking de l'église de Montebourg;
- arriver à boucler le plan non en deux heures comme Spielberg en a eu pour retrouver le pauvre Ryan mais en 6 minutes chrono...

Et c'est bien le chrono en question qui mettra fin à ce plan si minutieux.
Le Papa Kamikaze ne se sentant pas d'arriver en pleine cérémonie au baptême de ses deux gosses, préférera laisser le soldat Jo aux bons soins de son portable et des panneaux indicateurs qui fourmillent dans notre belle région si touristique, et de faire demi-tour pour rejoindre sa compagnie.
Au final, le soldat Jo arrivera au point de rassemblement dans les temps...

Projetons-nous donc 6 minutes plus tard, au moment au le Diacre souffrant nous accueille.
Il a un cancer des ganglions le pauvre vieux, donc il dort 18 heures par jour et ça a été une merde monumentale rien que pour le joindre quatres jours avant, n'ayant pas de nouvelles de sa part...heureusement qu'on l'a fait, d'ailleurs : il avait "oublié" qu'il faisait un baptême ce week-end !
On ne mentionnera pas le Curé de Montebourg qui, lui aussi souffrant, ne pouvait assurer la cérémonie...

C'est donc dans ce contexte tout particulièrement détendu, ami lecteur, que débute la cérémonie.
Après un léger flottement d'une dizaine de minutes où le Diacre nous regarde en hochant la tête, Océane, à qui on serinait depuis 15 jours qu'elle allait faire son baptême, décide d'entrer dans l'Eglise, que ça plaise au Diacre ou non et de commencer ce fichu baptême, parce que faut pas déconner : y'a un gâteau en jeu, quand même.. ;-D

A ce moment, Ami Lecteur, je me dois de faire un petit retour en arrière de deux jours.
Le jeudi, donc, nous avions rendez-vous avec le Diacre afin de préparer la cérémonie.
Note bien la fin de cette dernière phrase, sympathique lecteur...
Allez, je te la refait parce je ne m'en lasse pas : AFIN DE PREPARER LA CEREMONIE.

Comme madame travaille, c'est moi qui m'y colle, et comme la nourrice est en formation, c'est moi qui m'y colle aussi pour les loulouttes.
Quel bol, on sera trois pour entendre la préparation de la cérémonie.
On serra préparés à mort, c'est clair.

Dès le début (18H00), le ton est donné : On va morfler, on est tombés chez un féru de théologie...

Il faudra donc, pendant 1H30 (UNE HEURE ET DEMIE, BORDEL !!!) , expliquer au bon Diacre :
-petit a, les raisons qui nous poussent à baptiser les loulouttes;
-petit b, le cheminement qui est le notre dans la Foi du Christ;
-petit c, est-ce que la parole de Jésus est transposable dans notre monde moderne, et pourquoi;
-petit d, Le baptême qu'a reçu Jésus de Saint-Jean Baptiste est-il le même DANS l'ESPRIT (je met "dans l'esprit " en majuscule parce que le bon Diacre a insisté sur la formule pendant un bon quart d'heure et l'a reprise à chaque phrase qu'on a fait après, alors ça doit être super important...), est-il le même, disais-je, que celui que l'on fait aux enfants de nos jours, en tenant compte du fait qu'à l'époque c'était des adultes volontaires qui se faisaient baptiser, alors que nos enfants, eux (le bol ! ), ils ne savent pas ce qu'ils font ?
Argumentez et débattez, comme d'hab' : thèse/anti-thèse/synthèse...
Vous avez une heure et demie.

On aurait pu croire que ça aurait été bien comme ça. Pense-tu !
Après ce sympathique débat, notre brave homme a tenu absolument à nous chanter TOUS les cantiques possibles pour le baptême (y compris ceux dont on ne voulait pas, au cas où...).
Bref, au total on est rentrés à la maison à 22H00.
C'est pas une blague. 4H00 de préparation...

Alors autant dire qu'on allait à la cérémonie confiants, nous.
Tu parles, une préparation pareille, même pour une transatlantique en pédalo, ça se fait pas.

Mais dès le début, ça part un peu en vrille.
Le Diacre nous informe qu'il est fatigué (ben tiens) et qu'il a changé un chant (bien la peine de nous les avoir tous chantés, tiens...).
Et puis, à notre grande surprise, il nous demande les textes à lire, alors que deux jours avant, il nous assurait qu'on n'avait pas besoin d'emmener quoi que ce soit et que tout serait en place à l'Eglise sur le pupitre.
Il va même me tanner pour que je lui ramène mon exemplaire de livret de baptême...
Bon.
Après, je la fais courte parce que ça part totalement en Live.

Le Diacre nous la fait Open Bar et improvise au fur et à mesure.
Juju qui devait apporter une cruche d'eau (ça aussi, c'est du jamais vu, les fonds baptismaux qui se baladent en cruche de chez Gifi) est en fait remplacé par Grégo.
Bon, là, rien que pour la tronche à Greg, et l'annonce du Diacre au micro "Ben ?...Il est pas Là, Grégory ?", ça valait le coup... ;-P

Ensuite , ça dégénère totalement, les filles ne sont plus franchement tenables (2 heures de photographe, puis une heure de messe Open Bar avec un type qui leur à pris le chou pendant 4 heures deux jours plus tôt à chanter des cantiques, ça marque....).
Mamie Gi, aphone, est appelée au micro pour lire un texte, alors qu'était prévue Tata Marianne.
Tata Marianne et Juju (en fait Grégo, mais on l'a dit, il était fatigué, le Diacre...) échappent au massacre de la lecture car personne n'avait les textes...

Bref, tout ce joyeux bordel finit en apothéose quand on évite l'incendie de justesse, le Diacre déchaîné ayant décidé de filer des lumignons aux gosses, et Théo ayant pour sa part décidé de vider la cire bouillante dans le cou de son frangin.

On fait donc au final faire trempette aux filles, un p'tit signe de croix sur les médailles, deux signatures et on se magne de foutre le camp de ce bazar œcuménique.

Ecoeurés...
:-(



Bon, les choses sérieuses commencent avec l'arrivée à la salle.

Bien décidés à gérer l'échec de la cérémonie en compensant par un excès de zèle à la salle, on fait de notre mieux pour être partout à la fois, ce qui revient en fait à être nul part.
Je loupe du coup les cadeaux offerts aux filles (je ne les verrais que le lendemain, en fait), et je ne parle à personne (pas le temps).
Merçi à Tonton Juju pour le support logistique et la gestion mousseux-crème de cassis.

Malgré ça, on courre partout.
Je ne sais même plus où sont mes gosses (pas le temps), et on ne mange Christelle et moi en tout et pour tout qu'un bout de seiche et un bout d'agneau.


Le rôtisseur se gère tout seul, Dieu merci.
A propos de la seiche, merci à Mère qui a risqué sa vie (mais si,mais si! sa cocotte minute a explosé, en dégueulant un nuage de seiche sur tous les murs de la maison...véridique !).

Mamie Gi, elle, a décidé de passer le repas dans la cuisine.
Elle lave donc la quasi-totalité de la vaisselle, l'autre partie étant lavée par Mustapha, sans doute frustré de ne pas avoir pu dégainer sa tondeuse fétiche (je t'en reparlerai un jour, ami lecteur).

Bref, hormis la pause Tombola (à peine truquée, ma Doudoune....mais non, personne n'en a rien vu...), pause dont vous pouvez voir les effets dévastateurs ci-contre, lorsque combinés avec le mousseux de Lidl et le Vin de chez Auchan, à part cette pause, disais-je, on n'a pas pu voir grand-chose du repas.

Pas le temps de s'apitoyer, ma pauv' dame, c'est l'heure d'aller chercher le gâteau.
Grand moment de solitude lorsque je pose les cinq gâteaux sur le présentoir (surtout pour le dernier, tout en haut...pas fier, le papa...), et TADA !!!
Du coup, je l'ai pris en photo.

L'est-y pas beau, le gâteau ?! Hein !

jeudi, juin 19, 2008

Le Scarabé identifié !

Le sympathique scarabé qu'on a trouvé avant-hier est en fait un Lucane Cerf-volant (merçi Internet).

Le lucane cerf-volant (Lucanus cervus) est un coléoptère de la famille des Lucanidae. Il vit dans les cavités des vieux arbres et des troncs morts, en forêt comme dans le bocage. La gestion forestière, en éliminant les vieux arbres et le bois mort, élimine à la fois son habitat et sa nourriture. Protégé au niveau européen, le lucane cerf-volant, comme la plupart des coléoptères mangeant du bois, est en forte régression dans nos forêts.

Les lucanes femelles ne montrent pas l'impressionnante paire de mandibules que possèdent les mâles, mais compte tenu de la difficulté de mouvoir d'aussi grandes mandibules, et donc de mordre, ce sont en fait les femelles qui peuvent mordre le plus efficacement.

Les grosses mandibules du mâle lui ont valu son nom de « cerf-volant », par leur ressemblance avec les bois d'un cerf et le fait qu'il vole. La taille du lucane mâle peut atteindre plus de la moitié de la longueur d'une main d'adulte. La photo ci-dessous en donne une bonne idée. Le mâle européen ne vit qu'un mois, durant l'été.

Les lucanes cerf-volants sont la proies des pies, geais et autres animaux. Il est ainsi possible de trouver de nombreux cadavres sous les arbres, dont souvent seul l'abdomen est consommé.

(source Wikipédia)


;-D

mardi, juin 17, 2008

Tu dois te coucher, Petit Scarabé...

Au terme d'une journée bien remplie qui a vu l'inscription à l'école (et la visite de cette dernière) d'Océane ainsi que le début de la taille forcenée des haies de la maison, la famille était bien partie pour vaquer à ses occupations du soir ("mort sur le Nil", l'excellente version avec Peter Ustinov, pour Papa, l'arrosage des massifs de fleurs pour Maman, la ronflette profonde pour Ambre et la préparation du lit pour Gros-Calin-Avec-Maman pour Océane.

Tout à coup, un cri terrible survient...
Un cri, que dis-je, un hurlement.
Décalage de la bande son de mon film ?
Peter Ustinov se lisse la moustache. C'est donc pas lui qui crie comme ça.
Et puis l'Héritière a déjà été trouvée morte. C'est pas la femme de ménage qui crie non plus.

C'est donc la mienne, de femme, qui ulule à la mort sur la terrasse.
Et ben si. Quelle esprit pertinent.
On voit que je regarde un film de détective.
Les petites cellules grises de Sherlock Papa sont à donf, m'sieurs-dames...

Je jette un oeil glauque et vitreux par la baie vitrée, alors que ma chère et tendre entre, les yeux clignotant et le nez comme Rudolf, en m'annonçant qu'un énoooooooorme monstre se trimbale sur le pignon de la maison en cliquetant de toutes ses griffes...

Enfilant promptement mon costume de Papa-Super-Héro-qui-protège-sa-famille-du-danger (mes chaussons, donc), je me précipite à l'extérieur où je me trouve face à face avec un tout bête scarabée... d'une petite dizaine de centimètre, quand même.

Est décidée dans la foulée la mise en place d'un plan Safari.

Capture de la bête, donc, puis leçon de chose à la Louloutte, moins inquiète que sa Maman de la présence du gros coléoptère dans notre maisonnée...

Le gentil insecte a l'air complètement à l'aise devant l'objectif.
Bien campé sur ses 'tites griffes (sacrées griffes, en passant. C'est elles qui cliquetaient sur le crépis du pignon et qui l'ont fait repérer par la Doudoune).
On lui offre donc une séance photo digne de Vogue, avant de le relâcher dans le jardin...

;-D



PS : je souhaite apporter un correctif à ce post, à la demande expresse de ma chère et tendre.

Ma femme n'a, ce soir là, pas ululé. Ma femme ne ulule pas.
Bien que d'un caractère enjoué et rieur, ce n'est pas une chouette.
Elle a attiré mon attention sur ledit Scarabé d'un ton détaché et posé, en entrant dans la maison d'un pas égal et souple.
Elle a vaillamment affronté la bête, et moi, grosse loque vautrée devant la télé, j'ai injustement tenté de récupérer toute la gloire de cet rencontre du 2° type.
La tournure rocambolesque des événements utilisée par moi, bien que basée sur des faits réels, n'avait pour but que de la discréditer aux yeux de sa famille et de nos amis et de me promouvoir injustement.
Je suis vil, fourbe et méchant.

Je suis le Mal.
Honte à moi.

Pardon d'avoir tenté de t'abuser, ami lecteur, de mon faux courage.
Courage qui, je tiens à le souligner, revient entièrement à mon épouse adorée qui fait de si bons gâteaux au thermomix et qui gère nos affaires courantes avec la dextérité et la prestance de la femme émérite qu'elle est.
Quand à son petit nez rouge, il n'est en fait rouge que sur les photos numériques, comme les yeux des enfants.
En vrai, il est d'une délicate couleur plus rose que rouge et il frétille quand il hume le cou de ses enfants.

Maintenant, Christelle, pose ce flingue...
;-P

dimanche, juin 15, 2008

la CSM...Kézako ?

Un petit film de 7 mn, qui vous montre ce que ces foutus touristes en jet-ski ne verront jamais dans notre belle région... :-P

Je le trouve bien ce petit film pour plusieurs raisons. D'abord il explique bien l'éthique de la chasse sous-marine, assez éloignée de l'idée du boucher viandard qui va facilement "niquer du poisson" avec des bouteilles sur le dos.
Ensuite les images sont sympa, c'est tout à fait ce qu'on voit dans le coin à partir de 100 m de la côte.

Petit bémol quand même : en regardant la vidéo, ça a l'air hyper simple de voir autant de poisson.
Faut quand même préciser que les temps d'apnée avoisinent les deux minutes à plusieurs mètres de fond et que les sorties durent 4 heures...et je ne parle pas des courants, qui sont assez péchus dans le coin.

Pas de problème ?
Ben tiens, nagez déjà deux heures dans une piscine chauffée à 22°C en enchaînant des apnées de 30 secondes à 1m, pour voir.

Sans compter que le poisson s'approche comme les oiseaux : au moindre bruit (bulles dans le tuba, bruit de palmage, mouvement brusque), il fout le camp ! ;-D

Facile, vous dites ?
Essayez donc d'approcher des piafs dans votre jardin à deux trois mètres en moins de deux minutes et en retenant votre respiration...

:-D

jeudi, juin 12, 2008

Eh, Patate !

Dégustation aujourd'hui d'une partie de la première production locale de tubercules...

Bon, les patates sautées aux saucisses, comme tambouille, y'a pire, il faut dire.

Vivement les frites ! (un peu petites encore, lesdites tubercules...)

;-D

vendredi, juin 06, 2008

l'Herbe d'Or...

Que dire...
Faut bien la couper, cette fichue pelouse.
Heureusement que j'avais une co-pilote...

un grand merci à la photographe qui, au mépris de sa vie, s'est jetée devant la tondeuse pour immortaliser l'instant...

;-D

Quant au titre du post, "l'Herbe d'Or" est un bouquin extra, exhaltant la simplicité des gens de la mer, que je recommande chaudement à nos amis de la capitale qu'on voit débarquer en ce moment sur nos côtes, tous pleins d'argent et de la certitude de leur supériorité sur les bouseux que nous sommes...

;-P

mercredi, juin 04, 2008

Que Dalle...

Dans la saga interminable du "Magnifique Barbecue Improbable", un grand pas a été fait cet aprém' : La dalle de béton.

Véritable arlésienne de la maçonnerie moderne, elle a nécessité l'emprunt de la remorque du vieux, de la voiture du frangin (crochet d'attelage oblige), de l'achat de 750 kg de mélange de sable, de 4 sacs de ciment, de la fin du décaissement du terrain (et de l'évacuation de la terre à la déchetterie) et enfin de 2H30 de pelletage forcené pour obtenir la mixture magique bétonnifère.

Et aprés, grand moment de bonheur : la patouille dans la bouillasse de wannabe-béton...
Que du bonheur...

Ya plus qu'à attendre pour démouler et monter les pieds du Barbecue, couler la table, souder le foyer, monter la cheminée, couler l'avaloir, et coller les briques...
C'est quasi-fini, quoi ! ;-D

dimanche, juin 01, 2008

1 an !

Ce week-end, la Micro-louloutte vient de prendre ses 1 AN !

Du coup, fallait marquer le coup et la famille s'est donc réunie pour un barbecue-birthday-party !

Bon, impensable que les vieux viennent chez nous sans une visite-inspection du potager, véritable fenêtre sur mes talents ratés de jardinier légèrement décalé....

Devant l'aspect intolérable de mes plants de tomates, Mère a décidé de me donner un cours-éclair d'éclaircissement des gourmants (opération prévue pour le lundi aprém suivant, mais bon, si ça lui fait plaisir...;-P).

Profitant du soleil d'enfer de ce dimanche (il a même fallu fournir un chapeau au vieux, en pleine surchauffe... cette année étant celle des JO de Pékin, on lui a donc donné un chapeau idoine, style maraîcher des rizières...), on a attaqué le jambon pendu au sous-sol et fait griller les saussisses (du même cochon que le jambon, pauvre bête)...

Hélas, le soleil tapait vraiment trop fort ce jour-là, et Mamie Gi, un rien aidée par l'eau de vie locale, a rapidement roulé sous la table, vraisemblablement victime d'un début de cuite (ou d'insolation, je sais plus trop ;-P).

Mère, elle, a choisi la solution plus moderne du refroidissement liquide externe (vu que l'interne n'avait pas l'air de réussir à Mamie Gi).
Aussitôt dit, aussitôt fait, et hop ! une douche pour le vieux...

Bref, tout le monde étant rafraîchi, il était temps de sortir le gâteau (thermomixé, bien sûr), que la Micro-louloutte, du haut de ses 1 an, a soufflé comme une grande !