mercredi, mars 30, 2011

La cité des jouets perdus...




Grand spectacle de Dora au Zénith de Caen

mardi, mars 29, 2011

Je ne suis pas un si mauvais cheval...


Pas besoin de commentaires...

L'image terrible d'un homme poussé à ses dernières extrémités par ses enfants...

;-P

dimanche, mars 27, 2011

L'excuse bidon...

Profitant du temps magnifique de ces derniers jours, ma chère et tendre a emmené samedi les Louloutes au carnaval local...

Bon, votre serviteur étant au boulot, le reportage photo a été succinct (deux pov' photos prises avec le portable de madame, et pis voilà...).

En fait, juste ce post pour tester le transfert Bluetooth entre mon PC et le portable de ma chère et tendre...

Ayé ! c'est fait...
;-)

dimanche, mars 20, 2011

Défi du mois relevé !

Ayé !
Le motobineur du voisin vient de retrouver sa voix.

Bon, c'est pas celle d'origine, et pis il est un tantinet bruyant.
J'ai dû lui faire un pot custom, histoire qu'il puisse tourner correctement, mais bon le mieux sera de lui trouver un vieux pot de tondeuse.
L'ancien pot était vraiment irrécupérable, même partiellement. Tout était complètement pourri.

Enfin, il a quand même meilleure allure, en plus de pouvoir resservir à quelque chose.

Pour que tout soit réellement fini, il reste le capot de propreté en plastique à retaper.
L'ancien pot complètement pourri l'avait partiellement fait fondre, et quelqu'un avait dû le prendre pour un tabouret, ce qui avait cassé net le plastique autour de toutes les fixations.

Pour la partie fondue, un coup de décapeur thermique l'a un peu remise en forme (c'est pas parfait, mais bon...).
Pour les passages de boulons cassés, faudra mettre un peu de choucroute et de la résine.

Mais bon, l'essentiel c'est que ça marche !
Parce que c'était vraiment pas gagné...

;-D

Supermoon...

Rien à voir avec le super-héro bien connu qui triomphe de ses ennemis en leur montrant son derrière flasque et odorant.
Désolé, je sais que vous êtes déçus, mais pas de scatologie aujourd'hui.

En fait, la lune a été hier soir à son point le plus proche de la terre depuis près de 20 ans.
A 356557 km seulement, elle a semblé 14% plus grande et 30% plus lumineuse.

C'était la "supermoon".

C'est pas la peine de gueuler, c'est pas moi qui ai inventé le terme.

La dernière remonte au 10 janvier 1995, mais celle d'hier était la plus grande depuis 1992 !

Mmouais...
Tout le monde s'en fout, on dirait...

N'empèche que les loulouttes se sont régalées, avec observation à la jumelle et cours sur l'orbite lunaire et le sable du désert dans la stratosphère.

Jamais osé pensé avant d'en avoir que des gosses de 3 et 5 ans seraient fanas d'astronomie et capables de passer plus d'une demi-heure à observer la voûte celeste...

Un papa comblé donc.
:-D

Par contre, je suis un peu désappointé quand même que la fin du monde se soit pas encore arrivée, comme le prédisaient les habituels illuminés adeptes de numérologie, lecture dans les barquettes de carottes râpées ou invocateurs du grand Bhâ-zul Nââchu (le démon de la lune jaune, selon la mythologie Israëlo-malgache).
ça aurait quand même eu de la gueule, une fin du monde avec une Lune pareille, hein !
Mais non. Tsss...

A peine si on a eu une grande marée (ce qui a permis aux crétins de touristes d'aller une fois de plus piller la ressource du littoral...) et si on a mal dormi parce que même avec volets fermés, on y voyait comme à 19H30 (allez, 19H45 pour les pessimistes).


Bah, on se rattrapera en allant respirer à pleins poumons les poussières radioactives du Japon qui ne devraient pas tarder à arriver...

Même si perso, j'aurais plus penché pour une mort collective dans une apocalypse grandiose qu'à crever d'un cancer en crachant des bouts de poumons dans un lit d'hôpital.
Question de classe, hein.

;-P

samedi, mars 12, 2011

La Titine del la muerte

Sans voiture depuis une semaine, j'ai fini par en acheter une hier.
Vu le budget disponible (moins de 1000€...), y'avait de toute façon peu de chance qu'on trouve une Lamborghini Diablo ou une Corvette StingRay 1975.

C'est donc à 800€ que j'ai trouvé ma nouvelle monture.
Achetée à une collègue du boulot, pleine de bosse (la voiture, hein! pas la collègue), la peinture...euh...le reste de peinture fortement éprouvé.

Je l'ai rapidement baptisée la Titine del la muerte, en hommage au Tut-tut de la muerte, mon regretté chien et aussi parce qu'on a rapidement conscience de la fragilité de la vie humaine lorsqu'on grimpe à bord...

;-D

mercredi, mars 09, 2011

le Défi Technique du mois

Mon sympathique voisin m'a filé un vieux motobineur, histoire de voir si on ne pouvait pas le sauver.

Bon.
Vu l'état du patient, y'a du boulot.
Alors qu'il marchait très bien, il l'avait prêté y'a quelques années à un ahuri qui l'a complètement massacré.
Laissé dehors, la bougie cassée, plein d'eau...inutilisable en somme.
Il lui a rendu dans un état...Franchement moi, j'aurais pas osé, j'en aurais racheté un neuf.

Mon sympathique voisin, me voyant un jour peiner comme un malheureux avec mon trube dans mon jardin, m'avait déjà parlé de son motobineur qui se délabrait dans un coin de son garage.

Moi je pensais qu'il s'agissait d'une sorte de métaphore poétique quand il me disait que c'était une ruine que lui avait rendu le type et qu'il ne savait pas s'il était possible de le redémarrer.
Et ben finalement non...
Son motobineur est vraiment VRAIMENT en ruine.

Le pot d'échappement est complètement bouffé.
La bougie est cassé en deux (tu m'étonne qu'il ne démarre plus...) et le filetage de cette dernière a complètement pris en rouille le puit de bougie (il faudra percer pour l'extraire puis re-tarauder le puit...c'te galère...)

Quant au carburateur...euh...
La boite d'admission d'air,normalement remplie de mousse filtrante, est remplie d'une pâte noire et gluante et de reliquats de mousse pourrie.
Le carbu lui aussi en est rempli.
La photo de droite est vraiment flatteuse. En réalité, c'est la misère.

Je crains le pire pour le cylindre...

Et en effet, au démontage, ce dernier est lui aussi rempli de la même pâte noire, mélange d'huile et de je ne sais quoi...

Bon.
Défi technologique, hein. Et pis j'aime pas jeter.
Allez zou ! nettoyage, bain d'essence pour tout ce petit monde, et nettoyage plus approfondi (toujours à l'essence... j'aime ma vie).

Dans le même temps, démontage des accessoires (guidon, roues, bâti) tous complètement rouillés, passage à la brosse métallique, nettoyage au dégraissant, passage au Frameto, re-nettoyage et re-peinture à la peinture anti-rouille.

Reste plus qu'à remonter, à trouver une bougie, un pot d'échappement de tondeuse (ça à l'air d'être les même), et à prier pour que ça remarche...

Sacré Voisin, va !
;-D

vendredi, mars 04, 2011

Dodo, Métro, Escrocs...

Suite et fin des aventures parisiennes du mois...

Abandonné dans la capitale par ma petite famille, rentrée dans la Manche pour acheter un autre véhicule et rendre celui d'emprunt, je me retrouve donc tout seul devant notre garage Parisien à cent mètres des Invalides, désormais fermé.


Bon, le but étant de trouver une casse pour le lendemain et d'y fourguer la regrettée Scénic. Le tout sans que ça me coûte les yeux de la tête.
Et puis retour par le train.
Ensuite arrivé à la gare de Valognes, et madame étant sans doute à acheter notre nouvelle voiture à l'autre bout du département...ben on avisera sur place, hein.


Priorité du moment : trouver un coin pour dormir.
Coup de bol, il ne pleut pas.
Bon, direction la Tour Eiffel.
Quitte à ne pas dormir beaucoup et à être coincé dans Paris, autant faire de belles photos.
Et puis qui sait ? Il m'arrivera peut-être le même coup qu'à Collioure au Centre d'Entrainment Commando.
Désignés d'office pour monter une garde de nuit bidon sur une plage à la con pendant que le reste de la promotion dormait, à la base une sorte de punition pour notre équipe de choc dont les trop bons résultats malgré le comportement "borderline" devaient vexer, on a fini par passer la nuit sur la plage arrière d'un des yatch de luxe, tout nus (ben oui, il a bien fallu nager jusqu'au bateau, hein...;-D), à se goinfrer de caviar et de champagne avec des filles en bikini, le tout sous un ciel splendide (exactement le même que sur cette photo au-dessus, comète incluse...)).

Bon, vu la température (4°C!), le coup du tout nu sous la Tour Eiffel, je le sens pas trop, même si y'a du champagne et des filles en bikini.

Mais c'est finalement presque mieux qui se manifeste quand j'arrive sur place : le portable, bien rangé dans mon sac à dos, me crachouille un paquet de messages.

Ma mère, que j'avais eu peu avant au téléphone (mais en pleine circulation, à 19H30 en plein Paris, j'avais pas compris trois mots...), avait apparemment dégotté le numéro de téléphone d'une cousine habitant pas trop loin de la Tour Eiffel et qui serait ravie de recueillir pour la nuit le pauvre clodo que je suis devenu.

Bilan de la messagerie surchauffée :
- Deux messages de ma mère pour me donner le numéro de téléphone de Clothilde (la cousine);
- un message de la maman de Clothilde pour me donner encore le numéro (au cas où...);
- un message de ma maman pour me dire que Clothilde sera vexée si j'y vais pas;
- un message de ma chère et tendre pour me dire que ma maman l'avait appelée pour lui dire que si j'y allais pas, Clothilde, sa maman, mais aussi 97% de la famille serait vexée
- un message de Clothilde pour m'inviter.
- un dernier message de ma mère pour me dire que voilà, j'y vais, j'y vais pas, c'est moi qui voit et elle ne peut rien faire de plus.

Bon.
Pour le coup, je ne me sens pas obligé de passer voir Clothilde.
C'est vrai quoi. Il fait 4°C, y meule. J'ai les orteils qui fument déjà et les chaussettes qui collent d'avoir piétiné toute la journée dans Paris et à Disneyland. En plus, je sent le poney à dix mètres d'avoir porté mon sac à dos avec ma grosse veste d'hivers.
Alors, pouvoir dormir au chaud, éventuellement prendre une douche et pouvoir changer de T-shirt, le tout sans claquer 125€ pour la nuit...très peu pour moi !


Je finis quand même, au terme d'une longue analyse de la situation du naufragé urbain que je suis, par téléphoner à ma cousine...
Chez laquelle je trouve un canapé confortable, une bonne douche...et surtout un accès internet.
Bien pratique pour trouver les numéros des casses du coin.

Le lendemain à 8H00 tapantes, je suis devant le garage à attendre le patron.
Et blablabla, et l'embrayage gnagnagna, et que c'est grand dommage mon brave monsieur, et que bien sûr que je peux vous reprendre votre voiture, et que je vais faire un geste parce que vous m'êtes sympathique, je vous la reprend 250€. C'est t'y pas merveilleux la vie, hein ?

Bon.
franchement, j'ai cru à un gag pour les 250€.
Du coup, j'ose répondre :
- Mais...euh... j'ai des pneux neufs qui n 'ont pas 500km dessus, et puis rien qu'un optique de Scénic, vous allez en tirer au moins 50€...
- (carrément énervé qu'on ose discuter son avis professionnel) Non mais ne rentrez pas dans ce jeu-là, hein ! parce que rien que pour la remonter, il faudra 4-5 heures, alors y'en a pour 650€, hein ! mais si vous voulez, vous voyez une casse, vous verrez bien!

Ni une, ni deux (merçi Clothilde, merçi les pages jaunes), je téléphone à toutes les casses sur Paris.
Alors ça va de "euh..bin non, on ne prends plus rien, parce qu'avec la prime à la casse y'a plus de place dans notre parc", à "Mais oui ! pas de problème ! l'enlèvement c'est 250 € et pour les frais de parking, on va s'arranger si la voiture est roulante"
Bande d'escrocs...
Je finis par tomber sur une casse qui m'en propose 526€.
C'est déjà pas beaucoup, mais bon, on ne va pas faire la fine bouche et puis je ne peux pas me permettre de rester une journée de plus.
L'affaire est donc conclue : le garage remonte la voiture, puisqu'il faut qu'elle soit roulante pour monter sur le plateau de la dépaneuse (je me demande comment ils enlèvent les voitures explosés sur le périph' ? ils les réparent aussi avant ?...).
Le casse-man me paye le prix convenu, et je paye le garagiste.
Tout déduit, il restera donc 69 € à payer de ma poche.
Bande d'escrocs...

Enfin, je finis donc par rentrer en train (un affreux marmot me hurlera dans les oreilles pendant tout le chemin, en me donnant des coups sur le bras à chaque fois que je fais mine de m'endormir. Sa mère me déclarera qu'il est taquin, hein? Il finira par me foutre la paix juste avant Caen. Profitant que sa mère soit au petit coin, je lui ai promis de lui arracher les oreilles s'il recommençait et de les manger avec mes pains au chocolat. Il fera le reste de la route bien assis, avec les deux mains plaquées sur les oreilles. P'tit con, va.).

Arrivée à Valognes à 15H50.
Ma chère et tendre est toujours à l'autre bout de la Manche.
Faut marcher.
M'en fous, je relativise.
Et pis y fait beau.
On va pas se laisser emmerder par une dizaine de borne, quand même.

Bon. Arrivée à 17H00 à la maison.
Suis content de trouver la douche avec assez d'eau pour un bon bain.
Et que personne ne me parle de mater un Disney à la TV,ce soir, hein...

jeudi, mars 03, 2011

Le jour où Mickey a tué ma voiture...

Réveillé dès 3H00 du matin, voiture chargée avec bagages, loulouttes et Tata Marianne, nous voilà partis pour Paris, plus précisémment pour Disneyland.

Une journée qui s'annonçait sympa donc, bien que sans doute un peu froide, mais bon. Y'avait du soleil de prévu, alors zou !

Bon, notre antique scénic nous avait donné un signe avant-coureur deux jours avant : partis sur Caen pour acheter une deuxième voiture, la 5° avait sauté deux ou trois fois.
Mais en redescendant les vitesses, tout était rentré dans l'ordre.
Défaut de vieillesse, je me suis dit.
A 307000 km révolus, les syncros de la boîte de vitesse doivent être un tantinet usées. Du coup, avec le jeu, il semble que tout se soit remis en place.
La preuve, y'a plus rien.
Simple problème d'usure, rien d'inquiétant, donc.
On verra ça pour le contrôle technique.

Sauf que...
Ce matin, passé Caen, la cinquième saute sans arrêt.
Et au niveau de Mantes-la-jolie (tu parles d'un nom à la con. J'ai jamais vu une ville aussi moche...), on est obligé de rouler en 4°, la 5° ne tiens plus.
Bon, optimiste, je me dis que c'est chiant, mais en roulant à 90km/h maxi, on va consommer plus, on va perdre du temps, mais y'a pas péril et ça nous empèche pas d'aller à Disneyland, hein.

Sauf que...
Arrivée à une quinzaine de bornes du périphérique, je n'ai plus que la 4°...
Toutes les autres vitesses refusent de passer. Pire, y'a un vilain bruit de pignons qui gratouillent.
Sauf en 4°.

Bon.
On sait déjà qu'on ne pourra pas rentrer avec la voiture.
Y'a qu'à essayer d'atteindre Disneyland, et on fera venir une dépanneuse sur le Parking. Comme ça, ça n'empêchera pas les gosses d'aller au Parc pendant qu'on règle le problème.

Sauf que...
A Paris, à 8h00, sur le périphérique, on a surtout besoin des trois premières vitesses. La 4°, elle ne sert que rarement, vu qu'on bouchonne non-stop.
Et forcément, comme moi, je ne les ai pas, je suis obligé de rouler en 4° (impossible de s'arrêter avec deux gosses sur le périph en plein heure de pointe. Je ne connais pas les estimations d'espérance de vie dans une voiture arrêtée sur le périphérique parisien à 8H15 du mat', mais je serais étonné que ça dépasse les 10 minutes avant qu'un gars pressé d'aller bosser ne nous emboutisse).
L'espérance de vie de l'embrayage par contre, j'en ai une petite idée à ce rythme-là. Et c'est pas brillant. Bon, de toute façon, on ne peut pas se garer là.

Sauf que...
A un moment, il faut savoir s'arrêter.
Un de mes défaut étant l'obstination forcenée, c'est souvent les éléments extérieurs qui décident de l'arrêt pour moi.
Dans le cas présent, deux éléments : les protestations de ma chère et tendre d'une part, et de l'autre les protestations de l'embrayage qui décide de se faire entendre en dégageant une sale odeur qui n'annonce rien de bon.
Tu parles, à force de s'arrêter et de redémarrer en le faisant patiner...

C'est donc contraint, forcé et jurant comme un charretier, que je prend la prochaine sortie du périph' et qu'on appelle notre assistance dépannage.

Là, on poireaute une petite heure et notre dépanneur (un ancien pompier de Paris) nous remorque jusqu'à un petit garage...à 500m de la tour Eiffel !

Commence pour Madame une galère pour joindre le service assistance et avoir un véhicule de remplacement. Tout est centralisé sur Paris, mais apparemment les gens de l'assitance véhicule n'ont pas le droit de lever les yeux de leur écran et ne sont pas foutus de lire une simple carte.

On fini par nous envoyer deux kilomètres plus loin, de l'autre côté des Invalides, pour prendre possession d'une Golf dernier Modèle, flambante neuve, avec un tableau de bord digne d'un A380...
Première fois de ma vie que je conduis une bagnole avec moins de 1500km au compteur.

Retour au plan initial, vu qu'on attend le verdict de notre garagiste du moment (tu parles... vu le bruit de salade de pignons et l'odeur épouvantable d'embrayge cramé...c'est vite vu...) : Direction Disneyland.
Il est 13H00.

Après deux-trois attractions au milieu d'une foule pas possible (y'a du soleil et c'est les vacances... ça nous change de la dernière fois :-( ...), il faut repartir, le garage ferme à 19H00 et il faut retraverser Paris à l'heure des sorties de bureau.

Entre-temps, le garagiste nous confirme que Ô surprise! L'embrayage est mort et la boîte de vitesse aussi.

1500€ HT rien que pour la boîte de vitesse.

Revenu au garage, il est 18H40 (ouf), le patron est parti (merde) et personne n'est capable de nous donner l'adresse d'une casse sur le secteur.
Pas grave, de toute façon, on ne voulait rien faire dans l'urgence et de toute façon, il fallait vider la bagnole.

Décision est prise que les filles rentrent sur la Manche (il faut rendre la voiture à l'autre bout de la Manche le lendemain. On ne l'avait que pour 24H), et que moi je reste sur place pour régler le problème de voiture à mettre à la casse.

Dans la journée, ma chère et tendre avait réussi à joindre les propriétaires de notre (future) voiture et à avancer la vente au lendemain.
Du coup, elle aura une journée chargée elle aussi, puisque le matin elle ira rendre la voiture d'un côté de la Manche, et l'après-midi, elle ira dans un autre chercher la nouvelle voiture...
Coup de bol, on a Tata Marianne qui peut assurer le transport.
En fait, c'est même elle qui conduira la Golf et la petite famille de naufragés de la route jusqu'à la maison.

J't'en ficherais moi, du Mickey...

 (la suite demain)