Face à la crise du logement, Freud a décidé de partager son panier avec Océane.
La pauvre enfant, épuisée par les calins qu'elle n'arrête pas de faire à la saleté à pois, c'est littéralement écroulée de fatigue dans les bras...euh...pattes du chien.
La pauvre enfant, épuisée par les calins qu'elle n'arrête pas de faire à la saleté à pois, c'est littéralement écroulée de fatigue dans les bras...euh...pattes du chien.
Un monde sans pitié.
Des images terribles, comme disait notre illustre PPDA...
Des images terribles, comme disait notre illustre PPDA...
;-D
2 commentaires:
C'est quand même malheureux de voir que cette pauvre petite n'a même pas son propre lit et qu'elle est obligée de cohabiter avec Freud!!!
Au moins l'hiver elle a chaud...
C'est la crise, ma pov' Dame !
On en est a se chauffer à la chaleur animale...
;-)
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