A la fin du XIXe
siècle en Bretagne (et ailleurs, hein. Y'a pas que les bouffeurs de
crêpes, dans la vie...), les conserveries de sardines étaient infestées
de
rats.
Personne ne savait comment se débarrasser de ces petits animaux.
Pas question d’introduire des chats, qui auraient préféré manger des
sardines immobiles plutôt que ces rongeurs fuyants.
Bon, en même temps, ça se passe en Bretagne, on vous dit. Et le Breton, sorti du Chouchen et des menhirs, il est pas fin-fin, hein.
Bon, en même temps, ça se passe en Bretagne, on vous dit. Et le Breton, sorti du Chouchen et des menhirs, il est pas fin-fin, hein.
On eut l’idée (un normand, sans doute) de coudre le cul d’un rat vivant avec un gros crin de cheval.
Dans
l’impossibilité de rejeter normalement la nourriture, le rat,
continuant à manger, devenait fou de douleur et de rage. Il se
transformait en mini-fauve, véritable terreur pour ses congénères qu’il
blessait et faisait fuir.
L’ouvrière
qui acceptait d’accomplir cette sale besogne obtenait les faveurs de la
direction, une augmentation de salaire et recevait une promotion au
titre de contremaîtresse. Mais pour les autres ouvrières de la
sardinerie, la « couseuse de cul de rat » était une traîtresse. Car tant
que l’une d’elles accepterait de coudre le cul des rats, cette
répugnante pratique se perpétuerait.
Voilà pour le côté historique.
Bon.
Bien
qu'étant d'un très lointain rapport avec l'anecdote du jour, le Vieux
s'est lancé dans la recouture d'un bouton de chemise, fait d'Armes Ô
combien rare et héroïque...
Et
à la surprise générale, bien que pas franchement parti pour être
embauché chez un voilier, le Vieux a réussi à recoudre son bouton !
Et avec ses lunettes à octuple foyer, en prime...
Et avec ses lunettes à octuple foyer, en prime...
Vive le Vieux !
Et dire qu'on disait les vieux métiers en voie de disparition...
;-D
4 commentaires:
toi qui considères les bretons pour des gens pas fin fin d'où est tu.pour ta culture de viens pas chez nous tu en aurais trop à apprendre.un breton de loire atlantique.
Je suis de Normandie, mon brave.
J'ai vécu 10 ans en Bretagne, pas loin de la superbe forêt de Broceliande, ou j'ai pu profiter des splendides paysages, fait des fiestas à tout casser avec des potes bretons bouffeurs de crêpes, et j'en ai même profité du fait d'être là-bas pour y enterrer ma vie de garçon.
La Bretagne, la Normandie, c'est Kif-kif.
Les fonds marins sont les mêmes, et les fonds de bouteilles aussi.
Il ne faut pas prendre mes titillages pour des gens que j'aprécie (et dont je ne réduit pas la culture au chouchen et aux bigouden tipiak) au 1er degré.
Bon, le Breton est mauvais dans l'âme, surtout ceux du côté de la rue St Michel à Rennes, et pis y parle une langue pas possible, mais bon...dans le fond, il est presque civilisé...
;-)
Mdr !
L'homme qui murmurait à l'oreille des dolmen a parlé !
la Ty Anna Tavern ou la Trinquette ?
Loic
La Trinquette, mon Lolo !!
;-D
David restera sur la place pour nous garder la voiture, ce coup-çi...
:-D
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