dimanche, décembre 18, 2011

Maëstrom...

Je n'ai absolument plus le temps de tenir à jour mon blog...
C'est la misère, y se passe trop de trucs et je n'ai plus de motivation...
:-(

Bon, résumé des derniers jours (on va essayer de grouper...) :
Hier, anniversaire d'Océane.
Rien d'exceptionnel, on avait déjà fêté avec la famille samedi dernier.
Juste un bon petit plat de gambas flambées au wisky pour marquer le coup (merçi Fabienne pour la recette, c'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd...).

Alors, côté 4x4, en ce moment :
J'en avais marre d'avoir le ciel de toit du Cherokee qui me tombait sur la tronche, donc décision a été prise dans la semaine de le remplacer.
Achat du tissus (25 euros), de la colle néoprène (4 pots quand même...), et zou!


D'abord, la dépose.
Bon, pas de soucis majeur, sinon trouver comment les baguettes cache-
misère sont clipsées et surtout ne pas foutre en l'air ces satanés clip.
Coup de bol, les baguettes en question sont en fait des rails en acier. Y'a pas de clips, mais une bonne gorge bien solide sur toute la longueur... Dire que c'est aussi du Renault... L'évolution n'a pas que du bon, on dirait... ;-)

Le plus chiant est le décollage de l'ancien tissus, ou plutôt de son doublage, qui lui est resté bien collé sur la garniture...
On n'y coupe pas : Brosse, huile de coude et cutter.

La garniture enfin propre, reste plus qu'à encoller le tout et a y maroufler le tissus tout neuf.

L'un dans l'autre, c'est pas le plus dur. Y faut juste penser à enrouler le tissus sur lui-même et à le dérouler au fur et à mesure qu'on l'encolle.

Le remontage se fait bien, lui aussi. Faut y aller doucement pour le pas trop plier les bordures du ciel de toit, mais c'est pas la galère que je me représentais.

L'occasion aussi de passer un bon coup d'eau savonneuse et d'éponge sur les poignées de maintien et les rails d'habillage.
Les fumeurs devraient être interdits de conduire avec une clope au bec...
Bref, à part un léger retard dû à mon optimisme pour la consommation de colle (naîvement, je croyais qu'un seul pot suffirait...il en aura fallu 4 au final), le Cherokee a maintenant un beau ciel de toit tout neuf...
:-D

Autre travail mécanique de la semaine : la panne mystérieuse...

Le Scénic de madame ayant déjà eu une opération majeure (pour moi ;-P) il y a peu avec sa casse de turbo et son changement, je pensais qu'on serait relativement tranquille après.
Ben non, en fait.
La tranquillité est en option chez Renault, et seulement pendant la période de garantie d'un véhicule neuf...
Malgré le changement du turbo, et l'assurance que le boulot avait été correctement fait, le Scénic était incapable de dépasser les 60 km/h, voire les 20 les mauvais jours...
Chiotte.
Il y a deux jours, j'avais même passé la soirée à redéposer durites et autre pour vérifier les raccordements du turbo, les fixations, les éventuelles fuites, ect, ect...
Nettoyage de la vanne EGR, suppression du débitmètre.
Rien.
Rien de rien de rien.

Seule lueur d'espoir : la course de la pédale d'accélérateur devenue au fil du temps de plus en plus faible et...la sensation de ne pas avoir de rappel de la pédale.

La tronche dans le pédalier, je me rend compte que le boulon de fixation de la pédale est complétement desserré. ça explique une partie du problème de rappel de la pédale.
Mais ça ne résoud pas le problème de manque de puissance.
En désespoir de cause, ayant regardé un peu partout, je finis par démonter le potentiomètre qui envoie la position de la pédale d'accélérateur au calculateur d'injection.

Et bingo !

Plutôt que d'utiliser un bon vieux cable, les bagnoles modernes (enfin...PLUS modernes) utilisent un cable plus court qui fait varier un potentiomètre qui envoie une valeur de résistance plus ou moins forte au calculateur. Et ce dernier envoie donc le carburant en conséquence.
C'est assez simple, mais plus obscur quand on ne sait pas comment ça marche ni comment se servir d'un multimètre.
Là, le potentiomètre est nickel, mais le câble a fait une boucle, qui a fini par coulisser jusqu'à s'auto-bloquer contre la paroi de l'habitacle et donc...le glissement du cable est limité à un ou deux centimètres au niveau du potentiomètre.
J'ai jamais vu ça...
Renault nous supprime un cable d'un mêtre cinquante pour nous le remplacer par un de 25 centimètre qui arrive quand même à se faire un noeud auto-bloquant...
Tsss...
Ma panne de puissance, où je voyais déjà des frais faramineux style changement du calculateur ou du pot catalytique, n'est en fait qu'un bête blocage de cable à la con.
La boucle défaite, le cable passé de façon à éviter qu'il se ré-entortille, la titine retrouve toute sa pêche...
Encore une victoire de canard.
Mais bon, on s'en rapellera de cette panne foireuse.

;-P

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