La pauvre enfant, épuisée par les calins qu'elle n'arrête pas de faire à la saleté à pois, c'est littéralement écroulée de fatigue dans les bras...euh...pattes du chien.
Un monde sans pitié.
Des images terribles, comme disait notre illustre PPDA...
Des images terribles, comme disait notre illustre PPDA...
;-D
C'est quand même malheureux de voir que cette pauvre petite n'a même pas son propre lit et qu'elle est obligée de cohabiter avec Freud!!!
RépondreSupprimerAu moins l'hiver elle a chaud...
C'est la crise, ma pov' Dame !
RépondreSupprimerOn en est a se chauffer à la chaleur animale...
;-)